now, the person behind the screen

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prénom et/ou pseudo :: Toujours le même... si, si x)
âge :: 17 ans, et pas encore de ride 8D
comment tu es arrivé ici ? :: Je saiiiis... plus
et alors, t'en penses quoi ? :: Toujours aussi bien, mieux de jour en jour *BAMM*
taux de geekatittude Advienne que pourra haha x) Mais toujours là pour flooder ! =D
exemple de rp - obligatoire pour te faire ch**r jusqu'au bout xD sous spoiler :: Euuuhmmmm... vous me détestez à ce poiiiint ? *regard suppliant*
un p'tit mot ? :: NO.

Spoiler:

the hardest person to know is one's self

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Depuis le début de son existence, New York en a vu naître, des enfants en son sein. Et quantité de ces personnes aussi sont devenues des "star" de Hollywood, alors que la plupart des gens ne sont devenus que de simples habitants. On ne compte plus les peoples sur les biographies desquels c'est écrit "né à New York". Parmi ces peoples, parce que bon, on est pas là pour faire une critique sur le taux de natalité de la grande ville américaine, est né, il y a de cela pas si longtemps que ça, avouons-le, Noah Sam Williams. Allait-il devenir l'un des simples habitants de la ville parmi tous les autres ? Ou allait-il au contraire, grimper des échelons que très peu explorés pour monter, monter jusqu'au sommet de la montagne, juste à côté des grandes lettres blanches qui peignent le nom de HOLLYWOOD au-dessus de la grande ville des stars ? Personne ne le savait encore, alors qu'il voyait le jour, sortant des entrailles de sa mère, Florence Williams et créé par l'amour qui avait unie celle-ci à Sam Williams, son mari depuis alors plusieurs années qu'ils ne s'attardaient même plus à compter tant le bonheur était la seule trace que cet union pouvait laisser. Petit dernier d'une famille de huit enfants, Noah est bien vite, le petit chouchou de la famille, bien que les revenus de ses parents parviennent tout juste à combler le trou béant du compte en banque qu'ils avaient ouvert au moment de leur mariage. Seul garçon dans une fratrie de filles, Noah avait, on peut le dire, parfois du mal à marquer sa place dans la grande activité, l'ébullition constante qu'était la famille Williams, son foyer, ceux qui l'aimaient rien qu'en l'embêtant quotidiennement. Son père, militaire dans l'armée américaine était rarement présent, bien entendu, et Florence se retrouvait souvent à assumer tous ses enfants, bien que déjà deux s'étaient retrouvés à l'Université loin de la maison. C'est ainsi, dans ce contexte bancal et haut en couleurs et en vie que Noah a grandi, forgeant un sale petit caractère de par des expériences bien diverses dans son existence de jeune homme, ayant une vie presque normale, et presque ennuyante… mais soulignez bien le presque, bien entendu.

Ce jour là, le soleil brûlait l'herbe, chauffait le sol goudronneux au point que celui-ci suait presque pour laisser échapper une odeur âpre qui pouvait presque piquer les yeux. D'ailleurs, c'est ce que fit habilement remarquer la très jeune Esmée, quatre ans et demi, jusque là cadette de la famille, d'une voix d'enfant, juste criarde à souhait et presque attendrissante. Du haut de son petit mètre à peine atteint, ses couettes roussâtres pendant presque jusqu'à ses épaules, sa robe déjà trempée de quelques halots de sueur :
e s m é e ;; Papa ! Moi je veux pas sortir… ça pue ! Et t'façon, j'veux pas d'ptit frère !
Personne n'avait pris le temps de répondre à la petite rouquine, ses sœurs tout comme sa mère agitée de contractions qui la mettaient de bien mauvaise humeur, déjà montées de la voiture. Alors que son père l'entraînait de force dans la grande voiture familiale, la petite fille croisa les bras contre sa poitrine, avec la rage que pouvait avoir une gamine de cet âge, faisant cette moue, en retroussant ses lèvres dans tout ce qu'il y avait d'opposé à un sourire. Le trajet avait à peine duré quelques minutes, pas plus longtemps, et toute la famille Williams, du haut de ses sept enfants, un troupeau complet d'enfants plus ou moins boudeurs à l'idée d'être rejoint par un nouveau venu, avait débarqué à l'hôpital de New York. Heureusement, si l'on peut dire le hall du grand hôpital avait été assez grand pour accueillir ces nombreux gamins plus ou moins chérubins alors que leur mère partait pour la huitième fois accoucher, pour la première fois pourtant, d'un fils. Ce fut finalement en ce six septembre de l'année 1983 que Noah Sam Williams vit le jour, apparaissant avec son petit air de gamin parfait, son petit nez, ses yeux encore clos, son crâne couvert de tout juste quelques petits cheveux encore discrets… provoquant l'amour déjà des siens.

C'était un grand jour aujourd'hui, vous savez, le genre de grand jour que vous n'attendez pas avec cette appréhension que vous pouvez avoir comme à un examen, mais c'était un grand jour pour la famille Williams, cette grande, très grande famille bien particulière et parfaitement bizarrement déséquilibrée vue de loin. Dans le voisinage, l'on parlait souvent de la trop jeune Florence qui se retrouvait à assumer seule ses huit enfants, alors que son Sam, l'amour de sa vie, l'homme qui avait donné naissance en sa compagnie à ces huit têtes de chérubin, passait le plus clair de son temps, loin, très loin du petit foyer de la belle banlieue résidentielle du proche New York. Theresa, Louise, Aven, Peneloppe, Dorren, Satyr, Esmée et le petit Noah en dernier… toute cette petite bande était sortie de la maison en trombe, se dirigeant presque en courant vers cette fameuse immense voiture familiale que les parents Williams avaient parfois du mal à payer… faut dire, leurs revenus n'étaient pas non plus rocambolesques au point qu'ils se permettent de pourrir et gâter leurs enfants tout en les faisant vivre ! Toute la troupe était montée dans la voiture, Louise et Theresa, les jumelles aînées, en premier, emmenant avec elle Noah, pour le mettre dans son siège du haut de ses quatre ans et quelques. Puis il y avait eu Aven, Penny, Doren, Satyr et finalement Esmée qui elles, avaient décidé qu'elles savaient très bien monter par elles-mêmes dans cette fichue voiture. Vous savez, ces ébauches de famille modèle que l'on voit sur les fameuses grandes photos familiales, voilà ce que les Williams s'apprêtaient à faire, rien que pour peindre en plus beau leur quotidien… comme si une simple photo pouvait redonner un nouvel éclat à une vie de famille bien dérangée. Ils étaient finalement arrivés chez le fameux photographe, toute la troupe, au grand complet… ou presque, si vous vous permettez de vous pencher un peu sur toutes les têtes face à vous :
n o a h ;; Il est où papa ?
Le petit garçon avait attrapé avec délicatesse l'un des pans de la robe de sa mère, alors que celle-ci s'était attardée à bien régler la raie de Doren, quelque peu trop décalée, comme pour enlever de la perfection à leur photo de famille. Florence avait fait volte face vers son fils, se baissant pour avoir le regard à sa hauteur et, alors qu'elle allait prendre la parole, Doren le fit à sa place, d'une voix lasse, comme d'habitude avec elle :
d o r e n ;; T'as pas encore compris ? Il est trop occupé par son job pour s'occuper de nous !
Florence avait alors violemment fait signe à sa famille de s'éloigner, alors que le regard de son cher petit garçon se faisait suppliant, comme si le vide provoqué par l'absence de Sam et la confirmation de Doren lui fendait le cœur comme la pire des épreuves de sa vie. Grandir sans père, qui pourrait vouloir ça en venant au monde ?

Il passa le pan de tissu par-dessus la boucle qu'il avait réussi à faire, ses doigts tremblants comme s'il avait froid, l'esprit plus ailleurs que ce que son regard semblait montrer. Il finit par aplatir la fameuse cravate sur laquelle il s'acharnait depuis de longues minutes. Le nœud était encore raté. Dans un simple geste incontrôlé de rage, il s'arracha presque cette fameuse cravate d'autour de sa gorge, n'ayant jamais supporté la sensation de malaise que les costards lui provoquaient et aujourd'hui encore plus, il avait l'impression d'étouffer. Alors que le nœud mettait définitivement du temps à se défaire malgré sa lutte acharné, il sentit une main se poser sur la sienne. Les doigts qui venaient de rencontrer les siens étaient froid, et il eut un léger sursaut alors que son regard se posait finalement sur le visage fin, aux traits tirés par le temps d'Esmée. Il faut dire, elle avait beaucoup grandi, passant de la petite fille de quatre ans qui ne voulait pas de petit frère à la jeune femme responsable, qui donne la main à son frère alors que le pire moment de leur existence à tous les deux se dessine devant leurs yeux. Elle avait le regard vitreux, et elle ne s'était même pas maquillée, pour ne pas que son mascara coule à cause des pleurs qu'elle taisait devant tous… pour pleurer seule, cachée des regards indiscrets.
e s m é e ;; T'es vraiment pas doué, c'est enfantin pourtant…
Elle avait juste marmonné ces quelques mots, tout en se mettant à faire le fameux nœud de cravate, avec des gestes doux comme ceux d'une mère. Elle était prête, elle, depuis quelques minutes déjà, comme si elle était impatiente que tout se finisse. Au fond de lui, derrière la peine qui lui donnait la nausée et derrière ces ressentiments, il ressentait aussi ce besoin que la journée passe vite, que le soleil disparaisse derrière l'horizon, qu'il ait même le courage de trouver le sommeil ne serait-ce que pour quelques heures, pour que ce jour s'efface dans le défilement ininterrompu du temps. Il n'avait rien répondu, la laissant faire et n'osant pas même esquisser un mouvement, ou n'en ayant pas la force. Puis elle disparut, aussi vite qu'elle était venue, invisible dans le chagrin qui envahissait toute la maisonnée marquée au fer rouge, désunie dans la douleur… malgré tout ce qui les avait liés.

La nuit était tombée sur le grand New York depuis des heures maintenant, le voile sombre qu'était devenu le ciel avait perdu de toute sa splendeur en plein cœur de la ville, alors que les lampadaires et autres lueurs artificielles masquaient la clarté des étoiles à la personne qui en viendrait à lever le regard pour voir ces astres scintillant. Bien qu'il ait toujours connu cette ville, Noah se sentait perdu à ce moment précis, vidé de tout, n'ayant pas même la volonté de guider ses pas, se contentant de marcher par pur automatisme. C'était un été, l'été de 2006 plus précisément, un passé pas si lointain que ça et qui aurait pu être idyllique pour le jeune Williams. Cela faisait deux ans, et quelques sans doute, que le fameux jour qui avait déchiré sa famille dans le malheur était passé, alors que les secondes avaient filé à trop grande allure, ne faisant que prolonger le silence dans lequel chaque membre restant des Williams se complaisait. Non, il ne pouvait plus supporter ces sous entendus laissés traîner dans l'air alentour, il ne voulait plus voir ces lueurs tristes dans les visages de ses sœurs ou même de sa mère. Il arriva finalement devant ce fameux cimetière, celui qui avait vu la famille unie pour la dernière fois dans le même chagrin. Il aurait pu avoir un soupçon d'hésitation, à entrer dans cet endroit lugubre en pleine nuit… mais c'était comme s'il tenait à marquer ce dernier adieu aux siens. L'herbe artificiellement verdie du fameux cimetière crissait sous ses pieds, alors que quelques heures plus tôt dans la soirée, une légère bruine froide s'était abattue sur le vide, humidifiant les rues l'espace de quelques heures, tout au plus. Passant entre les tombes à pas lents et posés, il arriva finalement au fameux coin, cette petite parcelle de terrain au milieu de cet immense lieu parsemé de cadavres. Il se souvenait bien du jour où ils avaient plongé le cercueil dans la terre pour qu'une machine ensuite passe pour faire définitivement disparaître les souvenirs liés au corps dans la bière sous un amas de graviers, de terre et une immense pierre tombale bien trop chère pour le budget de la famille. Ses pas s'étaient stoppés, alors qu'il s'arrêtait devant l'épitaphe dans un soupire. Il ne saurait comprendre pourquoi il avait guidé sa marche jusqu'ici, jusqu'à cet homme, son père, qu'il n'avait jamais réellement connu, qui avait donné sa vie pour son pays, mais qui n'avait pas su donner de son temps pour ses nombreux enfants. Il l'avait longtemps haït, cet homme dont il n'était pas sûr de reconnaître le visage, mais maintenant, une sensation horrible d'échec lui enserrait le cœur et l'avait poussé à remonter aux sources sombres de sa famille, aux branches que très peu explorées des siens. Il passa quelques minutes à observer les écritures sur la pierre de grès, avant de finalement remettre le lourd sac qu'il portait depuis chez lui, sur ses épaules, direction la grande gare routière, pour aller il ne savait réellement où… quelque part, là où le monde se faisait moins oppressant et là où des douleurs passées finiraient par être usées, distillées par le temps. Passant une main sur la pierre plus froide que ce qu'il avait imaginé, il avait alors serré les dents, provoquant une horrible douleur au sommet de son crâne, mais n'y faisant nullement attention. Et puis, finalement, comme une ombre, il disparu dans le froid soir de New York.

La suite n'intéresse que très peu de gens, elle fait étalage sur tous les journaux people du moment. Noah Sam Williams a débuté le boulot comme figurant pour de nombreux films, avant d'avoir un premier grand rôle, le premier grand rôle qui l'a révélé enfin à son public de fans. A Los Angeles, le jeune homme avait appris à effacer sa vie, à distiller ses souvenirs dans la gloire qui naissait autour de lui, cette gloire qui lui permettait alors de passer pour quelqu'un enfin. Ceux qui en viendront un jour à croiser la route de Noah, il vous dira sûrement qu'il avait eu la meilleure famille possible et qu'il est toujours très proche des siens, qui vivent assez loin mais à qui il rend visite souvent. Non, il n'est pas mythomane, il le dit bien et ce n'est pas pour plaire à son public qu'il passe pour celui qu'il n'est pas... c'est simplement parce que reste encore dans ses pensées, cette envie, au fond de lui, de parvenir à faire taire les rancœurs qu'il pouvait encore ressentir à l'égard des siens, comme si nier menait vers le chemin du pardon. La vie pénarde de Noah Williams fait étale parmi ses plus grands fans, ce qu'ils ne savent pas, c'est que ce n'est qu'un rideau rouge, un voile à la vérité bien trop tue.

Dernière édition par Noah Sam Williams le Dim 4 Oct - 17:06, édité 3 fois

Trois années, croyez le ou non, ça passe vite... et le programme à raconter est souvent très long, quand on s'attarde à se retourner sur son passé. Aujourd'hui encore, Noah n'a pas pris le temps de s'attarder sur tout ce qui lui était arrivé pendant ces longs et longs jours... Acteur, toujours acteur jusqu'au bout des ongles, ça c'est sûr, voire même de plus en plus reconnu et talentueux au fil des mois qui passent... quelle notoriété ! Et les jeunes filles en fleur aiment aller à sa rencontre et aller voir les films dans lesquels il joue... même une micro-scène... un véritable phénomène de foire à lui tout seul... et ô combien exploité... Mais c'est le business, et il le sait très bien, le monde de Hollywood, on s'y adapte ou on le quitte, mais on ne peut certainement pas le changer. Enfin, si côté professionnel tout est allé pour le mieux disons-le, côté personnel, les choses se sont forcément compliquées... parce qu'il doit obligatoirement y avoir quelque chose qui se complique dans une vie... sinon, elle n'est vraiment pas amusante, du moins, pour ceux qui ne font que regarder du haut des cieux (aa). Mais là je m'égare voyons... L'affaire du couple Williams/XY (ndlr : le nom du personnage n'étant pas encore défini) a souvent fait couler beaucoup d'encre, les polémiques il faut le dire allaient toujours bon train, et depuis la fameuse "prise de main" aux TCA, tous les potins allaient encore plus dans le sens d'une relation amoureuse... qui n'existait bien entendu pas, pas encore du moins. De plus en plus progressivement harcelés par les médias, les deux ne se sont pas vus pendant de nombreuses semaines, des mois même, alors que, à l'instar de leur vie personnelle, leur vie professionnelle battait bon train. Profitant même de la notoriété de ce couple imaginaire, les studios de production du film par lequel Noah a rencontré X ont décidé de faire le "tome 2" des aventures des personnages de chacun. Malgré l'offre alléchante, Noah refusa l'offre, préférant "se pencher sur d'autres côtés de sa carrière". Épiés dans le moindre de leurs mouvements - ou presque - par les paparazzi et toute l'armée du scandale, les choses n'allaient plus bon train entre les deux acteurs. Pourtant, tout le monde s'amusait à les présenter "choux" l'un au bras de l'autre il y a de cela des mois pour des cérémonies officielles et barbantes, ou encore vraiment "faits l'un pour l'autre" et complémentaires. Cette pression n'a pas semblé plaire à X qui n'a rien trouvé de mieux que d'annoncer son départ de la ville le jour même où Noah avait enfin osé - ou presque - avouer le réel fond de ses sentiments... quelle chute, et en beauté, jamais dirons-nous le bellâtre qui fait craquer toutes les filles ne s'était pris un si gros râteau de toute sa vie. Cette merveilleuse action de X n'a fait qu'engendrer ce qui devait arriver... et Noah s'est remis à être le coureur de jupon qu'il a toujours été, multipliant encore plus les conquêtes sans lendemain, faisant tourner des têtes avec facilité et brisant aisément des cœurs... tout en restant un acteur à la cote admirable et aux contrats de plus en plus lucratifs alors que sa notoriété people augmente à chaque nouvelle fille ramenée chez lui. Enfin... ça, c'est sans compter sur le grand come back qui l'attend...

rebienvenuuuue &&. bon courage pour ta fiche (:

Re Bienvenue sur le forum
& bonne continuation pour ta fiche

RE- Merci à vous deux x)

Je termine très vite, don't werry 8D

AHN! Merci beaucoup ^^
En effet j'en aurai besoin XD

Re-re-re welcouuume !
Jaime toujours autant ce Jensen
Bonne chance avec ta fiche

Merciiiiiii <3

Et moi j'aime toujours autant aussi Ashley

WELL. J'ai finiii x)

Juste pour dire --' le rp je le cherche xD

je valideuuh
j'aime toujours autant ta fiche (l)

DUBBLE MERCIIIEUUUH