| | •• Lily Rose A. Livingston. | |
| Auteur | Message |
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| Sujet: •• Lily Rose A. Livingston. Mer 14 Oct - 16:48 | |
| LIVINGSTON; Lily Rose Anna.« Le luxe, ce n'est pas le contraire de la pauvreté mais celui de la vulgarité - Coco Chanel. »
| nom :: Livingston. prénoms :: Lily Rose Anna. âge :: 24 ans. habite à :: Londres. attirance sexuelle :: Lesbienne ( mais un peu perdue et très ouverte ). origines :: Anglaise. groupe :: À voir. avatar :: Lily Allen - qui ne l'aurait pas reconnu ???
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'cause it's just how i am.
Que dire de Lily en quelques adjectifs ??? Pour commencer, je dirai qu'elle a une générosité remarquable. Ses amis comptant énormément à ses yeux, elle ferait tout pour les aider dans des situations compliquées, ce qui l'oblige parfois à venger méchamment le malheur de ses amis, et le sien aussi, ce qui fait d'elle une peste ou la met dans des situations parfois embarassantes. Ayant du mal avec le changement, elle peut perdre facilement des amis avec les années. Dans un début de relation, quand on la découvre, on la décrit comme quelqu'un de mignon, de gentil, à qui il ne viendrait jamais l'idée de faire du mal tant son sourire et sa bonheur humeur sont agréables. Dans le cas où ça arriverait cependant, elle pourrait se montrer désagréable par sa franchise et sa manière de dire à chacun de ses ennemis leurs quatre vérités. Aux yeux de tous, Lily une femme originale, débordante d'idées, même si les gens "biens" la trouvent vulgaire. Talentueuse, ses amis la soutiennent complètement dans son travail et beaucoup croient en elle, en son avenir brillant, en sa carrière. Mais nous sommes loin d'avoir fait le tour ... Mais qui est donc Lily dans ses relations amoureuses ??? Comment organise-t'elle sa vie sentimentale ??? C'est simple. Douce, appliquée, elle trouvera toujours le geste ou les mots pour mettre qui elle veut dans son lit. Toutefois, n'assumant pas ses fantasmes, elle considère sa vie amoureuse comme un fiasco et évite de plus en plus d'en parler, préférant tourner la page, réessayant cependant à chaque fois. Ayant beaucoup d'espoir, et sachant que la vie est un chemin à l'intérieur duquel les possibilités sont infinies, elle base toujours beaucoup de confiance sur ce qu'elle entreprend - cependant, elle ne se rends pas facilement compte si ce qu'elle fait est bien ou pas. Un petit défaut pour finir ??? Son pêché mignon ??? La gourmandise, et la luxure. On avait dit un seul, non ??? Alors les deux mélangés.
the hardest person to know is one's self.
Mon passé ??? J'ai eus un passé simple, banal, presque vide de sens. J'ai fais beaucoup d'erreurs dans ma vie, j'ai sans doute eus beaucoup de choix, je n'ai pas forcément toujours pris les bonnes décisions et je m'en suis toujours repentie. D'abord, je suis née. Ce fut une première erreur. Il était aux environs de minuit quand j'ai soudain souhaité montrer le bout de mon nez, ce qui fut un soulagement chez mes parents qui craignaient que je sois plus embêtante, comme si j'allais naitre à quatre heures du matin, comme ça. Comme si il y avait une véritablement raison pour que, par hasard, je naissent juste après que mes parents soient partis se coucher, juste avant qu'ils ne se lèvent. La suite fut plus simple, si on considère que naître engendre tout dans une vie, des pires erreurs aux choix les plus réfléchis. Nettement plus simple. D'ailleurs, je ne me rappelle pas de grand chose et, selon moi, cela constitue une preuve suffisante à la simplicité de mon éducation. Je n'étais pas bien méchante. Je ne faisais pas de bêtises, ramenais de bonnes notes, ne fréquentais que des filles issues d'un milieu bourgeois semblable au mien. Me faisais des amis, avec un joli sourire de petite fille, des yeux bruns et brillants, des parents qui m'aimaient. Des parents qui auraient en apparence tout fait pour moi, tout fait pour que je sois la plus forte. Cette période fut pour moi relativement agréable. Toute mon adolescence ne fut qu'un long fleuve tranquille ; je ne touchai à aucune drogue, ne bu pas d'alcool, ne fuguai pas. J'étais un modèle de perfection aux yeux de mes parents qui furent soulagés lorsque que j'atteins la quinzaine sans encombres - merci pour eux. Jusqu'à ce que je rencontre Jay, au détour d'un chemin. Nous nous sommes rencontrés dans la rue. Non, il ne m'a pas bousculé, n'a pas fait tombé mon sac, n'a pas bafouillé bêtement, ne s'est pas excusé, n'a pas ramassé mes affaires, ne m'a pas sourit. Enfin, si, il m'a sourit. Mais juste ça. Nous avons parlé, liés par une passion commune. Liés par la musique merveilleuse de cette soirée de juin que je n'oublierai jamais plus. Cette nuit là, nous avons parlé, longtemps. Et beaucoup. Nous avons dansé, aussi. Et puis, il m'a ramené dans son hotel. Jay. Ah, Jay, je l'aimais, je n'en doutais pas. Et il m'aimait, à priori. Nous nous aimions, j'y croyais. C'était merveilleux. Jay, il jouait de la guitare comme un dieu, me rédigeait des poèmes fantastiques, était capable de réparer mon scooter à une heure du matin, de m'embrasser dans un champ de blé, de me faire l'amour dans la forêt. Je ne crois pas avoir eut relations plus folles qu'avec lui. Pendant des mois, Jay a tout été pour moi, représentait tout à mes yeux, pour lui j'ai arrêté le lycée, et aujourd'hui de lui doit beaucoup. Énormément. Puis un jour, il est parti, j'étais tellement triste, je racontais que c'était injuste, que les contes de fées ne finissaient pas comme ça, que ma vie s'écroulait. Et je n'avais pas totalement tort. Un an. Deux ans. Trois ans seule. Toute seule. Terriblement seule. Trois longues années passées à, chaque jour, faire le même trajet, prendre le même métro, fréquenter les mêmes bars. Trois années passées à tout essayer, à fumer, à me droguer, à boire presque à en mourir, à boire à ne plus me rappeler de soirées entières. Trois ans terriblement longs et difficiles passés à, chaque soir, recommencer les mêmes gestes, devant les mêmes garçons, tous assoiffés d'alcool, de sexe, gaspillant leur argent chaque soir pour avoir une danse avec celle qui ne serait même pas la plus belle, mais juste la plus ouverte. Tous les soirs, arriver en petite tenue de dentelle, été comme hiver, chaque soir danser autour d'une barre en fer, la chevaucher, la caresser, en arriver à faire des choses que je n'oserais même pas répéter. Tous ces garçons qui me prenaient dans leurs bras en me répétant qu'ils m'aimaient, que j'étais belle, alors que je savais que ce n'était pas vrai, qu'ils ne le pensaient pas, qu'ils voulaient juste que ce soit plus intense. Toutes ces ordures venues ici par manque d'amour, tombées dans mes bras. Tous ces hommes dont j'ai dut m'occuper, dont je n'ai fait que relever le temps d'une relation dans les toilettes publiques. Toutes ces soit disant bonnes actions qui me tuaient à petit feu. S'en était devenu pathétique. Mais un jour, j'ai reçu un coup de téléphone. Celui d'une amie, que je n'avais pas vu depuis très longtemps. Depuis 6 ans. Depuis que Jay et moi avions emprunté le même chemin. Mais je tenais énormément à elle, je l'avais juste perdue de vue, ce n'était rien, je devais la revoir, je ne pouvais pas me passer de sa présence quand j'étais gamine, alors j'ai décidé de faire de même aujourd'hui. Et je l'ai revue. Irrémédiablement. On s'était données rendez vous dans un bar, à Londres, j'étais venue à l'heure, même en avance, de toute manière je n'avais rien d'autre à faire. Mais elle me connaissait trop bien, en principe je serais venue à l'heure indiquée. Voire en retard, car je n'aimais pas m'afficher, car je n'aimais pas afficher mon attachement. Mais j'avais changé, et elle s'y fit. Peu à peu. Peu à peu que la conversation avançait, que les heures passaient, que les gens défilaient. Et que nous, nous étions là. Je lui racontais les choses que j'écrivais, mon ambition à devenir chanteuse, mes nombreuses lettres envoyées à des boites, toutes ces chansons perdues, oubliées, toutes ces réponses inexistantes, tout ce vide autour de moi. Nous redevenions inséparables, "comme avant" m'avait-elle dit juste avant de regarder sa montre. Mais je savais bien que l'heure ne l'importait peu, qu'elle devait juste partir parce-que c'était comme ça, c'est tout, alors elle se leva, s'excusa, et je lui sourit. C'était mon premier sourire depuis 3 ans, et c'était à elle que je décidais de le dédier. Et puis, je me levai. Et je la prit dans mes bras. Nous sommes restées ainsi plusieurs minutes, profitant de l'émotion de cet instant, car nous savions que nous ne nous reverrions pas. Car j'avais reçu ce courrier qui m'invitait à New York, enfin, que j'avais signé un contrat, que j'avais trouvé du travail, que mon rêve était en train de se réaliser. Enfin. car elle avait énormément de travail dans son entreprise de mode. Et pour pleins d'autres raisons aussi. Et nous nous sommes quittées. Les premiers mots qui me revinrent à l'esprit lorsque nous nous sommes séparées furent "comme avant". Car oui, nous étions toujours les mêmes. Mais non, ce n'était pas comme avant. Ce ne le serait plus jamais désormais. Mais ça n'empêchait qu'en tournant au coin de la rue, je ne pus m'empêcher de verser une larme. Car au tournant de la rue, je me rappelai que demain, je partais pour New York. Car ce tournant de rue, c'était exactement celui où j'avais rencontré ma meilleure amie, et que je ne la reverrai probablement jamais.ici.
now, the person behind the screen.
prénom et / ou pseudo :: Jesuischauve ( mon petit monde ). âge :: 13 ans ( no comment ). comment tu es arrivé ici ? :: Par Providence. et alors, t'en penses quoi ? :: J'aime bien. taux de geekatittude :: Je suis une vraie geekette, alors sans doute tous les jours. exemple de rp ::
- Spoiler:
Il était quatre heures du matin passé d'une bonne demie-heure. Malgré son jeune âge, il arrivait rarement à Anna de veiller aussi tard - ou plutôt aussi tôt. Ce soir, elle n'avait pas travaillé. Ce soir, pour la première fois, elle regrettait l'ambiance du bar, tous ces gestes répétés qu'elle connaissait désormais par cœur, les spots aveuglants tournés vers elle, la musique répétitive des années 80, le bruit, la drogue qui tournait. Elle regrettait de ne plus être appelée, de ne plus avoir l'agréable surprise d'une somme d'argent souvent généreuse cachée dans ses bas en dentelle ou dans un coin de sa guepière. Oui, elle regrettait de ne plus être traitée comme un objet, car cette façon de vivre s'était avérée beaucoup plus agréable que celle que vivent la plupart des gens ici, à New York. Fatiguée, Anna se laissa retomber dans le canapé, poussant un soupire quasiment inaudible. Il faisait froid ce soir, ce qui expliqua la vitesse à laquelle le plaid rejoignit les jambes d'Anna repliées contre son corps. Il y eut alors un courant d'air qui ne se fit à peine remarquer, la blonde eut un frisson. Le silence lui faisait froid dans le dos. Dans sa tête, la jeune adulte se remémorait tous ce qu'elle avait encaissé depuis son arrivé en ville et constata que la vie ici ne lui avait pour le moment rien apporté de bon. Demain, elle aurait un entretien d'embauche. Demain, ce serait différent, peut-être que sa vie changerait. Demain était commencé depuis déjà 4 heures trois quarts. Cherchant le sommeil désespérément, la petite gogo danseuse alluma la télé, même si elle se doutait qu'il n'y avait pas grand chose à cette heure là. Juste de quoi la faire tomber dans les bras de Morphée. À peine de quoi lui permettre de rêver, à peine de quoi lui rappeler son enfance, de quoi la soulager l'espace d'une nuit. De quoi lui faire croire qu'il existe peut-être une autre forme de vie, lointaine, ou alors tout prêt de nous. Une vie qu'il suffirait de tendre le bras pour toucher du doigt. Juste un rêve pour lui permettre de se rendre compte que dans trois heures maintenant, sa vie aura changé radicalement.
Et puis, on frappa à sa porte. Trois coups bien distincts. Ce genre de coups qu'on entend d'habitude que de jour, qui résonna dans tout l'immeuble, et même peut-être dans toute la rue, au moins autant que le bruit que fit la porte d'entrée en se refermant dans un claquement sonore, au moins autant que le déclic d'une porte qui s'ouvre à cinq heures du matin.
un p'tit mot ? :: ... Nan.
Dernière édition par Lily Rose A. Livingston le Mer 14 Oct - 21:09, édité 1 fois |
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| Sujet: Re: •• Lily Rose A. Livingston. Mer 14 Oct - 17:19 | |
| J'aime beaucoup ta fiche (aaa) Et puis Lily (L)
Il reste plus que les icones et pour ton groupe ? |
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| Sujet: Re: •• Lily Rose A. Livingston. Mer 14 Oct - 17:31 | |
| bienvenue |
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| Sujet: Re: •• Lily Rose A. Livingston. Mer 14 Oct - 20:41 | |
| Merci. (: Ouais, Lily ...
Pour le groupe, je dirais "Don't touch me, I'm a star". Pour les icônes, je me dépêche. (a) |
| | | Zane Nehemiah Spencer« Who I Am... » WOMANZANER ♫
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| Sujet: Re: •• Lily Rose A. Livingston. Mer 14 Oct - 20:44 | |
| Bienvenue sur le forum |
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| Sujet: Re: •• Lily Rose A. Livingston. Mer 14 Oct - 21:10 | |
| Merci. (:
C'est booon. |
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| Sujet: Re: •• Lily Rose A. Livingston. Mer 14 Oct - 21:31 | |
| Tu es Validéee =) |
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| Sujet: Re: •• Lily Rose A. Livingston. Mer 14 Oct - 23:43 | |
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| Sujet: Re: •• Lily Rose A. Livingston. Jeu 15 Oct - 16:57 | |
| Merci. |
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| Sujet: Re: •• Lily Rose A. Livingston. | |
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| | | | •• Lily Rose A. Livingston. | |
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