lunahbee &&. neela I got my head checked By a jumbo jet It wasn't easy But nothing is, no

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«Je peux m'asseoir ?» Lunahbee Emrys venait de débarquer dans ce bar et alla directement vers Neela Holloway assise visiblement seule à une table près de la fenêtre. La question que Bee venait de poser avait d'étranges intonations d'affirmation propre à la new yorkaise et elle n'attendit aucune réponse avant de prendre place devant la jeune femme, d'ailleurs. Elle n'avait pas du tout l'air gênée par le fait qu'elle vienne de s'incruster à la table d'une personne qui la prend clairement pour une timbrée. Non, absolument pas. Elle réussit à même sourire d'une façon très hautaine. C'était dans ses habitudes; montrer qu'elle est très sûre d'elle et de ce qu'elle fait alors qu'à l'intérieur ça n'était pas le cas. « Salut. Lors de notre dernière conversation je n'ai pas pu me présenter, je suis Lunabee Emrys. » Bee était fière d'elle, sa voix était maitrisée, calme et son visage était aussi indéchiffrable qu'à son habitude. Rien ne trahissait le fait qu'à l'intérieur, ça bouillonnait. Elle n'avait probablement jamais été aussi stressée de sa vie... Elle n'aurait peut-être pas dû enter dans ce bar, mais ce fut plus fort qu'elle. Quand elle la vit, elle entra sans réellement y penser. Et puis, c'est assez connu, Lunahbee est quelqu'un de particulièrement impulsif qui ne pense pas aux conséquences de ses actes. Elle se rappela alors leur dernière conversation. Cette dernière coupa et court et fut pour le moins humiliante pour Bee qui ne s'était jamais fait traiter de la sorte par quiconque. Cependant, ça n'était pas pour cette raison qu'elle allait abandonner, oh non. Emrys est bien plus persévérante -ou têtue, tout dépend du point de vue- que ça ! Elle essayait, vainement, de se convaincre tout allait bien se passer. Elle avait beau se rejouer tous les scénarios possibles dans sa tête, rien n'y faisait. Néanmoins, elle l'attendait depuis longtemps, ce moment mais ne serait-ce que d'imaginer qu'elle allait complétement se livrer à quelqu'un lui faisait peur. Elle n'avait jamais fait ça auparavant et ne compter d'ailleurs pas le faire. C'est cette partie de mystère qui faisait aussi son charme. Pourtant, sa vie n'était pas si horrible que ça en comparaison de certaines et elle s'en était bien sortie. Elle n'avais jamais connu un quelconque besoin, si ce n'est que de l'affection et de l'attention de la part de ses parents. Elle connaissait l'histoire de Neela et savait qu'elle avait énormément souffert mais elle l'enviait aussi même si elle savait qu'elle ne devrait pas. Bee avait grandit auprès de ses deux parents alors que Neela n'en avait même pas un seul avec elle. La journée de Lunahbee avait pourtant bien commencer et elle espérait qu'elle se terminerait de la même façon. Elle s'était levée tard vu qu'elle avait passé la nuit en boîte avec November Downey, une de ses amies les plus proches. Elle s'était sacrément bien amusée et revoir downey lui a fait plaisir. Elle savait à quel point l'anglaise avait besoin de soutient ces temps-ci et bee s'était auto-proclamée dévergongeuse de future mariée. A cette pensée, elle sourit même si elle avait en fait envie de rire mais elle se retint, déjà que Neela la prenait pour une folle et si en plus elle commençait à rigoler bêtement toute seule... Bref, elle avait passer sa journée à flemmarder sur son canapé en zappant (elle était même tombé sur une critique d'un film dans lequel elle avait joué et on applaudissait sa prestation; cela l'avait mit d'excellente humeur d'autant plus que ce fut un des rôles qu'elle a préféré jouer et qui lui avait demander beaucoup de préparation). Ce genre d'activité toute simple lui manquait souvent. Ces derniers, temps, sa carrière était au plus haut mais cela ne lui suffisait pas. Ca lui fait bizarre de penser ça, après tout elle est extrêmement bien payée pour faire ce qu'elle aime le plus faire dans la vie, n'est-ce pas magnifique ? Elle se disait alors qu'elle était probablement fatiguée et qu'elle avait besoin d'un peu de repos. Elle s'accorda donc quelque semaines de répit avait de reprendre le chemin des studios de tournage. Elle avait quand même hâte d'être à son prochain film ; celui-ci n'était qu'un pré-production mais elle avait adorer le script et elle eu un réel coup de cœur pour le personnage qu'elle allait interpréter. Il s'agit de Jenna Lee McPherson, une jeune américaine des années 1920 qui avait des rêves plein la tête. Ça n'intéressait pas Bee de jouer des des personnages lui ressemblent, elle n'y trouve aucun intérêt. Bref, vers 18h, elle eut subitement l'envie de sortir et de se balader un peu, se sentant un peu confinée chez elle. Elle eût la chance de ne pas être trop dérangé par les paparazzis, ces pseudo photographes, alors qu'habituellement elle en a une quinzaine qui la suivent où qu'elle aille. C'est le genre de choses auxquelles on ne s'habitue jamais réellement. Du moins, ce ne fut pas le Cas d'Emrys qui n'arrive toujours pas à s'en accoutumer. On ne s'habitue pas non plus que des fans hurlant quand ils vous voient, que les gens vous dévisagent dans la rue, et tout et tout. Cependant, tout ça reste très plaisant mais bien sûr il y a aussi le revers de la médaille comme le fait que la presse raconte souvent un ramassis de conneries à votre sujet en vous faisant passer pour la pire des garces, par exemple. Ça non plus, on ne s'y accoutume pas même si au bout d'un certain temps on préfère ne pas lire ce qui est dit sur nous ou sur nos amis car on sait qu'il 70% de chances que cela soit une pure invention dans le but de faire vendre. Ouais, c'est ça le show business. Un bruit sourd fit Bee sortir de ses pensées (quelqu'un avait glissé, elle avait mal pour lui). Le silence était un peu lourd, Neela devait elle aussi être dans ses pensées. Un serveur vient alors vers elles pour prendre leur commande. Bee fut alors tentée de prendre une vodka ou du moins une boisson alcoolisée mais elle se ravisa ; un café devrait suffire. Le serveur s'éloigna et elle décida qu'il était temps pour elle de prendre la parole et de dire ce qu'elle avait à dire. Un sueur froide commençait à perlé son front alors que le stresse remontait à nouveau. Elle essaya de garder son visage serein mais ne savait pas si c'était une réussite. « Tu m'excuseras -ou pas- mais j'irais droit au but, ce n'est pas mon genre de tourner autour du pot... » Elle marqua une pause avant de reprendre après 'avoir repris son souffle.« Je sais que tu ne me crois pas quand je te dis que je suis ta sœur mais je t'assure que c'est vrai et pour te le prouver, je de dois te raconter mon histoire. Cependant, si tu ne veux pas, je ne vais pas t'y obliger, bien entendu. Je te demanderais de simplement ne pas m'interrompre une fois que j'aurais commencer, si c'est ce que tu souhaites s'entend. » Elle marqua à nouveau une pause, le temps de sortir son paquet de cigarettes de son sac chanel. « Une clope ? » demanda-t-elle en lui tendant le paquet.

gifs ; clifornia road &&. coldy january

neela &&. luhahbee << la vie est une montagne russe. il faut être au plus bas pour pouvoir apprecier la monter. >> gifs : maybe tomorrow && miszläay

Assise dans ce bar qu'elle ne connaissait malheureusement que trop bien, Neela regardait d'un air vague sans aucune distinction ses mains tremblantes posaient sur ses genoux. Depuis quelque temps la belle était terriblement en manque, et c'est précisement aujourd'hui et dans une demi heure que son manque, son envie va être diminuer de peu. Son " ami ", allait lui donner quelque chose qu'elle n'avait plus depuis 5 malheureux jours qu'elle avait surmonté avec beaucoup de stress, mais un jour de plus sans, elle n'aurais pas tenue, elle essaya de controler ses tremblements qui se faisaient de plus en plus violent. La tête baissait, le demoiselle était perdue dans ses pensées. Elle repensa encore a cette folle qui était venue la voir il n'y a pas longtemps de cela, et qui se disait être sa soeur, mais c'était impossible, elle ne connaissait ni son père biologique et d'ailleur la demoiselle ne souhaitait en aucun cas le revoir. Elle pourrait très bien le voir dans la rue qu'elle ne saurait pas le reconnaître et c'est tant mieux ! Et quand à sa mère, on ne sais pas vraiment pourquoi on lui donnerait ce nom, cela ne servirait à rien, parce qu'une mère est censée aimer l'enfant qui est en elle, or là était tout le contraire de Neela, qui elle était une énorme erreur voilà ce que disait la lettre qu'elle lui avait écrite alors qu'elle était à l'hopital sur son lit, et qui savait déjà ce qu'elle allait faire en rentrant chez elle avec ce monstre. Une larme de haine coula sur sa joue, laissant une trainé salée et brulante. Elle l'essuya rapidement pour ne pas se faire prendre en photos par ces rapias de journaliste qui vous pourrissent la vie comme bon leur semblent. Elle passa une main dans ses long cheveux bruns, et les remis comme a son habitude, avec un peu de volume, et sur le côté. Elle se baissa et prit son sac a mains qui était par terre. Elle renifla doucement, tous ces mauvais souvenir avaient fait ressurgir de la peine en elle, en pensant a ses géniteurs, elle penser douloureusment a ses parents de coeur, les parents de sa mère. Elle les avaient tant aimer, et voilà que la vie les avaient arrachés de sa vie. C'était vraiment injuste. << Je peux m'asseoir ? >> Neela releva la tête de son sac à mains, et regarda devant elle, c'était la jeune fille qui était apparut sans aucune raison devant chez elle, Nee n'eut pas le temps de parler, que la jeune brune s'asseya devant elle. Neela ne put rien dire qu'elle continua. << Salut. Lors de notre dernière conversation je n'ai pas pu me présenter, je suis Lunabee Emrys. >>. Alors comme ça cette folle avait un nom, qui ne disait absolument rien a Neela. Ses tremblements recommençerent, elle fourra ses mains entre ses jambes, et elle les serra fort, cela commençait a s'attenuer. Neela la regarda et put enfin la regardait, elle était belle oh oui, de la même taille que Neela, celle ci avait tout d'une new-yorkaise, mais Neela ne s'attarda pas sur ça, elle avait la même couleur de yeux, intense, avec une minuscule pointe de folie dans les yeux. Mais elle ne savait pas en quoi elle pouvait bien être sa soeur. Neela ne parla pas. << Tu m'excuseras -ou pas- mais j'irais droit au but, ce n'est pas mon genre de tourner autour du pot... Je sais que tu ne me crois pas quand je te dis que je suis ta sœur mais je t'assure que c'est vrai et pour te le prouver, je de dois te raconter mon histoire. Cependant, si tu ne veux pas, je ne vais pas t'y obliger, bien entendu. Je te demanderais de simplement ne pas m'interrompre une fois que j'aurais commencer, si c'est ce que tu souhaites s'entend. >>. Neela respira, sa curiosité refit surface, et voulait savoir l'histoire de cette jeune fille, alors elle se décida à parler de sa voix la plus douce, ne voulant pas attirer les soupçons de celle ci, et lui mettre la puce a l'oreille sur son côté " Salut je m'appelle Neela, et je suis indépendante a la drogue. ". << Salut ..- elle se massa le cou et reprit - Moi je m'appelle Neela Holloway, c'est vrai que l'autre jour je ne t'ai pas très bien acceuillie mais il y avait de quoi, t'as débarquer comme ça en me disant que tu étais ma soeur, ce qui dans mon cas est fort peu probable. Mais vas y je t'écoute. >>. Elle regarda Lunahbee, et attendit.

Lunahbee observait Neela comme si elle guettait le moindre de ses mouvements, la moindre de ses réactions. Elle appréhendait le fait qu'elle s'en aille en la traitent de folle à lier. En même temps, cela serait probablement la réaction quelle aurait eu si elle se trouvait à la place d'Holloway. Oui, maintenant qu'elle y pensait, elle aurait agi de la même manière si c'était Neela qui serait venue lui annoncer qu'elle était sa sœur. C'est effectivement difficile à croire... Ce qui est aussi difficile d'imaginer, c'est que Bee envie Neela, n quelque sortes. En effet, elle n'a jamais connu ses parents, certes, mais elle toujours été aimée durant toute son enfance ce qui ne fut pas le cas d'Emrys. Ces parents n'étaient même pas là pour lui dire ce qui était bien ou pas, c'est aussi pour ça qu'elle a vite mal tourné. Ouais, y'a mieux que se droguer à 15 ans je pense. Bee n'a jamais accepter aucune autorité, d'ailleurs personne n'était pas là pour lui dire que ce qu'elle faisait été mal. Son père passait ses journées au bureau (et trompait surement sa femme) pendant que sa mère partait aux quatre coins du monde pour son travail de mannequin. Bee passait ses journées avec les nombreuses nourrices qu'elle a eut durant son enfance. A son adolescence, ses amis venaient fumer chez elle parce que c'était certain qu'il ne se ferait pas prendre et elle sortait très tard le soir pour même parfois ne pas rentrer avant quelque jours. Cependant, ses notes restaient très bonnes et elle payait ses nourrices pour ne rien dire à ses parents. Cette vie n'était pas très seine, c'était clair mais bee s'en contentait. Maintenant qu'elle observait qu'elle observait Neela plus attentivement, elle remarqua alors un air de ressemblance avec son père et avec cette femme, Laurenne dont elle avait vu les photos que son père avait mystérieusement gardé. Elle avait les même boucles volumineuses, bien que celles de monsieur Emrys étaient beaucoup plus claires. Ils avaient les même yeux qui vous donnaient l'impression qu'ils vous examinent. Lunahbee en avait elle aussi hérité. Elle a le même truc en plus que lui que Bee n'a jamais su expliquer. Neela était très belle, cela est indégnable. Subitement, Neela se mit à légèrement trembler. Lunahbee prit ça comme un signe d'énervement, ou d'impatiente. Elle passa sa main dans ses cheveux et remit ses boucles brunes en place, comme à son habitude. Elle n'avait jamais été quelqu'un de superficiel mais s'il y a avait une chose qu'elle ne pouvait pas supporter c'est bien quand ses cheveux ne sont pas bien coiffé. « Salut ... Moi je m'appelle Neela Holloway, c'est vrai que l'autre jour je ne t'ai pas très bien acceuillie mais il y avait de quoi, t'as débarquer comme ça en me disant que tu étais ma soeur, ce qui dans mon cas est fort peu probable. Mais vas y je t'écoute. » Bee la regarda et resta immobile un instant avant de hocher la tête. Elle avait absolument raison. Elle reprit son souffle et se lança. Elle ne savait pas comment ça allait terminer mais cela n'avait pas d'importance. Elle allait dire ce qu'elle avait à dire, peu importe les conséquences. Au moins, elle aura la conscience tranquille... « Je suis née il y a vingt deux années de ça, à New York. Mes parents étaient très peu présents pour moi. Ma mère étaient mannequin. Elle mit sa carrière en péril pour moi, elle avait prit le risque de ne plus pouvoir retrouver sa silhouette d'en temps mais elle en avait que faire. Elle m'aimait. Mon père, le tiens, est encore à ce jour un avocat très connu. Marc Emrys... si jeune pourtant si brillant. Ils se sont rencontré à la fac et j'ai vu le jour peu de temps après toi. Ils étaient heureux ensemble. » Elle fit une pause de quelques instants, guettant les réactions de sa locutrice. Elle essayait de bien choisir ses mots et de tout faire pour que sa voix et son visage restent totalement serein et indéchiffrable, comme d'habitude. Elle espérait qu'elle ne craquerait pas, elle était assez forte pour ne pas le faire. Elle n'avait pas pleurer sur son passé durant ses trois dernières années, ça n'allait pas être maintenant qu'elle allait commencer. Elle reprit. « Le bonheur fut tout de même de courte durée. En effet, ils avaient tous les deux une conception de la vie trop différente. Ils se séparèrent à la fin e l'université et je restais sous la garde de ma mère mais mon père pouvait venir me voir quand il le désirait. Néanmoins, ils allaient tous les deux commencer une carrière et avaient peu de temps à me consacrer. Je vivais avec des nourrices et autre personnel à mon service. "Tes parents sont sont promut à un grand avenir", me disaient-ils. Je nétait pas heureuse ais je ne pouvais pas faire autrement. Peu à peu, je rentrais dans l'adolescence et je devenait de plus en plus incontrôlable. N'ayant jamais eu une quelconque attention parentale ; je faisais absolument tout ce que je voulais faire. A quinze ans, je me droguait, je buvais et je sortais quand bon me semblait. J'avais seize ans quand ma mère est morte, un fâcheux accident de voiture l'a tuée. » Elle s'arrêta à nouveau, parler de sa mère lui provoquait toujours des frissons, en particulier quand elle faisait allusions à sa mort. En dépit du fait qu'elle ne la voyait que très peu, Bee a toujours eu énormément d'estime pour sa mère. Elle l'aimait. Elle soupira à nouveau et ferma les yeux deux secondes. Ça allait, elle va continuer. « Je n'ai pas réussit à accepter ça. Je ne pouvais pas. Aujourd'hui encore, il m'est difficile de concevoir que je ne reverrais jamais ma mère. Avant ça, j'étais très fêtarde mais après c'était encore pire. Ma vie ne se résumait plus qu'à faire semblant que j'allais bien la journée et faire la fête la nuit. J'allais mal mais personne ne le savait. Même moi, je ne l'acceptais pas. J'ai arrêté d'appeler mon père "papa". J'avais hâte de partir à la fac, j'étouffais à New York. J'avais été acceptée à Oxford, en Angleterre et j'avais la ferme attention d'y aller. Un soir, ta série est passée à la télé. J'ai regardé sans vraiment y faire attention. J'étais trop préoccupé - et shootée - pour penser à quoi que ce soit en fait. Le lendemain je devais prendre l'avion pour Londres et j'avais fumé quelque joints, histoire d'éviter de réfléchir trop. Sans vraiment en voir conscience, je suis allée dans la cave. J'ai fouillé dans les vieux cartons de mon père et j'ai trouvé des lettres. Des lettres de ta mère, Laurenne. J'ai trouvé une radiographie, de toi. Dans ses lettres elle disait qu'elle l'aimait et qu'elle lui en voulait de ne pas lui répondre mais elle devait lui écrire, c'était plus fort qu'elle. » Elle s'arrêta à nouveau. Se remémorer ainsi son passé, ça faisait tout simplement mal. Ça faisait des années qu'elle n'y avait pas pensé et elle ne pensait pas qu'elle allait pleurer. Sa voix avait clairement changé de ton. Il y a avait une pointe de tristesse. « Excuse-moi un instant, s'il te plait. » Elle se leva et gagna les toilettes des dames. Avec un peu de chance, elles seraient vides et elle pourrait laisser couler les larmes qui menaçaient de tomber. Elle couru presque jusqu'à la pièce surchauffé et légèrement de mauvais gout. Elles étaient vide, heureusement. Bee s'appuya contre un évier et pleura quelques minutes, en silence. Elle entendit la porte s'ouvrir. Elle se dépêcha de sécher ses larmes et fit mine de se remaquiller. Cependant, ses yeux étaient rouges, il était clair qu'elle avait pleurer.