Avalon Lyzee Markson

« Ce que nous demandons au cinéma, c'est ce que l'amour et la vie nous refusent, c'est le mystère, c'est le miracle. »

nom ::Markson prénom :: Avalon Lyzée âge :: 23 ans habite à :: Los Angeles attirance sexuelle :: Hétéro origines :: américaine groupe ::whatever it works avatar :: Aslhey Greene

'cause it's just how i am

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Je suis une jeune fille de vingt six ans et je suis tout sauf un ange. Quoique c’est à discuter non? Fière et sûre de moi, je ne doute pas de mes capacités. Je sais ce que je vaux, je ne me gêne pas pour le dire ou pour vanter de qualités que je sais avoirs et ce que je peux faire en toutes objectivités (quoique……………) bien que parfois je vise trop haut mais en étant consciente de ce point. Je me dois de réussir, et surtout de gagner en toutes circonstances. Je ne suis pas devenue une célébrité en me tournant les pouces. Je veux même gagner et ce que je veux, je le crie haut et fort. Je ne me cache de rien. Je ne sais pas contrôler mes émotions, je suis d’une nature plus qu’impulsive et je réagis très souvent sans réfléchir. Vous voyez, je suis du genre à foncer dans la gueule du loup parce qu’on m’y a mis au défi. Je fonce quoiqu’il arrive même en sachant que la cause est désespérée. Je fonce car de toute façon, je suis trop fière pour dire non. Et pour le moment, ça ne m’a pas trop mal réussit.

Je suis du genre très rancunière, je ne supporte pas la trahison ni l’hypocrisie sans vous parler de lâcheté. Je ne pardonne pas un coup de couteau dans le dos et, en réalité, je pardonne très peu de choses. Une erreur et il faudra un moment avant que je ne daigne ré adresser la parole au fautif. Je ne fais pas confiance facilement, je suis de nature plus que méfiante et sur la défensive. Sans parler de mon côté vengeur ou mesquin… Bon courage. Cependant une fois que je suis apprivoisée, car mon caractère est tellement difficile et marqué que c’est une tâche difficile, une fois que j’ai donnée ma confiance, je suis une amie fidèle et sans cesse à l’écoute. Je sais très bien que rien n’est plus important que l’amitié et je serais toujours prête à tout pour ceux qui ont ce statuts pour moi.

Que dire d’autres… Je suis sensible (mais pas trop car les gens qui le sont un peu….trop justement m’énervent) et un brin romantique même si je ne donne pas mon cœur facilement. Je suis également soucieuse de mes proches, mes amies pour être franche car je ne suis guère proche de ma famille, ils sont trop vieux jeux pour moi ( non ne vous moquez pas, je suis assez désespérée toute seule!!!!!!) entre ma mère qui me fait la morale et mon père sans arrêt shooté. Bref……………. Mais je dois leur reconnaître qu’ils m’ont toujours soutenu quoiqu’ils arrivent, et cela m’a réellement fait du bien.Sauf bien évidemment quand j'ai quitté l'école ce qui fut un véritable drame. Mais tant pis. J'étais assez grande et je savais ce que je voulais faire de ma vie. Personne ne m'en empêcherait. Et j'y ais réussit.

Oh je ne vous ais pas parlé de ma passion pour la nourriture et surtout…….le chocolat. Ce goût savoureux, cette texture qui fond sur la langue, c’est tout simplement divin et personne ne ma prouvé pour le moment que c’était moins bon que le sexe. Tout comme tout savoir… C’est bien aussi à sa façon, je déteste être tenue dans l’ignorance et je suis donc de ce fait, beaucoup trop curieuse…

Je suis une sacrée femme n’est-ce pas? Et je rajouterais que je suis fière de l’être.

the hardest person to know is one's self

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Je suis née dans une famille bourge et riche. La famille de princesse que tout le monde rêverait d’avoir, et je dois avouer que j’ai eu une enfance de rêve. Vous savez celle qu’on voit dans les dessins animés et les films d’enfants, mais toutes pièces à sa face et son côté pile. Et le négatif d’une vie riche était l’état d’esprit de parents qui n’ont su évoluer avec leurs temps. C’était «  Avalon, tu ne dois pas être habillée comme ça tu te rends compte de l’image que tu donnes!!!!!!!!! » ou bien encore «  Oh mon dieu mais comment parles tu, comme ces jeunes crasseux des rues qui n’ont aucuns savoir vivre. » ou encore « Tu ne peux traîner avec ce genre de personnes ma chérie, tu vaux tellement mieux qu’eux ». Mais en quoi???????? En quoi étais je donc mieux? Parce que j’étais riche? Bien habillée, sans cesse retouchée comme un mannequin dès que je devais sortir avec ma famille? Pourquoi ne pouvais-je pas me lier d’amitié avec le petit garçon d’en face bien qu’il soit pauvre? Il était forcément quelque un de pas bien parce que son porte monnaie était vide? Mais quel était donc ce raisonnement complètement stupide???????? Quelque chose que je n’ai jamais compris et je dois avouer que je n’ai jamais cherché tout simplement parce que je n’étais pas de la même génération. C’était à eux d’évoluer et non à moi il me semble…

Mon père était un ancien artiste qui dans le passé, avait connu une certaine gloire. De ce fait, c’était très musical à la maison et un jour, on me passa une comédie sur ce thème, un film dont le titre était « Annie ». J’étais jeune à cette époque mais ce film m’a fait comprendre au plus profond de moi que je tenais à être de ce monde, fermé mais dans lequel, je savais qu’un jour je pourrais entrer. Cependant, il se révéla que je n’avais aucun talent pour le chant. Je savais poser ma voix, j’avais une belle tonalité mais rien qui me distinguerait des autres et un son qui ne portait pas assez pour faire des chansons qui pourraient être reconnues. Si bien qu’il me fallut trouver autre chose,car bien évidemment, je ne voulais pas d’une autre vue. Je tenais à avoir celle à laquelle me menait ma vie de petite princesse qui avait tout ce qu’elle désirait. J’insistais donc auprès de mes parents afin qu’ils me fassent donner des cours de théâtres. Ce ne fut pas simple mais ils cédèrent finalement sous la pression d’une fillette plus que têtue. J’avais douze ans à cette époque et ce fut une véritable….révélation. J’avais eu le coup de foudre que j’espérais depuis tant d’années, d’autant que j’étais plus que douée dans ma spécialité.

A l’âge de seize ans, je pris la décision de quitter l’école. C’était trop pour moi, je souhaitais réaliser un rêve que je ne pouvais plus attendre. Bien évidemment mes parents, jusqu’ici en admiration totale pour leur petits prodiges, furent très sceptiques et mécontent de cette décision qui pouvait attendre selon eux, les deux ans nécessaires pour finir la première partie de scolarité. Mais je n’étais pas apte à leur laisser diriger une vie qui m’appartenait. Je n’en fis bien évidemment qu’à ma tête et je partis sur le champ pour Hollywood avec l’aide de mes économies et dieu sait si j’en avais dans une famille comme la mienne. Ce n’était donc pas un problème.J’eus d’abord quelques petits rôles, ce qui était une aubaine et surtout, uniquement dû à mes talents naturels. Et la chance me sourit enfin quand un de ces films fut récompensé d’un oscar, ce qui me valut d’être remarqué pour de bon. On me proposa alors le film contant l’histoire d’une jeune fille handicapée qui allait reprendre goût à la vie grâce à l’amour d’un jeune homme prêt à tout pour la revoir sourire.

Interview

Mademoiselle, pouvez vous nous dire votre impression sur ce film ?

-Un film qui demeure mon premier à mes yeux, mon meilleur souvenir pour le moment. Je me souviens comme si c’était hier, de cette maison aux rideaux parme, de ce fauteuil où j’ai été forcé de jouer pendant un bon moment quoique ne pas marcher n’est pas désagréable mais au bout de cinq minutes, j’avais tellement la bougeotte que j’aurais tout donné pour sauter partout « rires ».

Votre succès à très rapidement connu un succès phénoménal, comme le vivez vous?

-C’est facile de vivre ce pourquoi on a rêvé toute sa vie. J’aime la compagnie de mes fans et surtout, j’aime passionnément mon métier qui est désormais tout à mes yeux et pour lequel, j’ai voué une admiration sans bornes depuis mon enfance.

Avez-vous quelque un dans votre vie?

-Ce sujet restera privé.


Le seul point de ma vie dont je ne pouvais parler aux journalistes. En effet, j’ai rencontré un jeune acteur il y a peu. Je ne tenais pas à tomber amoureuse de quelque un partageant le métier tout simplement à cause des ragots qui s’étaleraient en première page de la presse, de la pression publique et des paparazzi. Je tenais tant à rencontrer quelque un qui ne nagerait pas dans ce milieu. Mais je tombais sur lui. Au départ, il ne m’avait pas plus attiré que ça mais au fur et à mesure que j’appris à le connaître, je m’attachais profondément à lui. Mais je savais que notre relation ne serait plus si jamais elle était connue. Ainsi pour nous préserver, j’ai décidé de la taire. Mais chaque jour, tout devient plus dure. Et je ne sais pas combien de temps je pourrais tenir à garder un amour secret ni même s’il tiendra.

now, the person behind the screen

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