Jenovefa Bedelia McFadden

« citation en rapport avec le personnage »

nom :: McFadden prénom :: Jenovefa Bedelia âge :: 21 ans habite à :: Los Angeles attirance sexuelle :: Heterosexuelle origines :: Irlandaise groupe :: Just for Them avatar :: Natalie Portman

now, the person behind the screen

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prénom et/ou pseudo :: Twiixy
âge :: 16 ans
comment tu es arrivé ici ? :: Pub AE =)
et alors, t'en penses quoi ? :: Bah je serais pas là si le forum ne me plaisait pas
taux de geekatittude 5/7
code du règlement ::

Spoiler:

exemple de rp ::

Spoiler:

un p'tit mot ? ::

'cause it's just how i am

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Quand j'était gamine on peut pas dire que j'étais vraiment feminine au contraire j''étais plutôt du genre garçon manqué qui jouait aux action-man avec son frère plutôt qu'aux barbies. Par la suite je suis devenue dépressive, limite gothique, si vous voyez le genre, habillée en noir tout le temps, maquillée en noir etc ... mais si seulement ça c'était arrêté la, j'étais rebelle pendant ce temps la, c'était l'âge con comme on dit. Mais heureusement j'ai changé, je suis devenue celle que je suis aujourd'hui, enfin à quelques details près. Dès mon arrivée au lycée je suis devenue souriante, pleine de vie et très sentimentale, voir trop parfois. Et aujourd'hui encore je pleurs en regardant le roi lion, c'est pour dire ! Je ne suis pas de ceux qui profite de leur célébrité au contraire j'essaye de vivre le plus normalement et naturellement possible. Je suis un grande enfant mais qui sait aussi être serieuse quand il le faut. En ce qui concerne les fiesta 'jy vais, mais je n'en abuse pas non plus. J'aime des choses bizarres comme l'odeur de l'essence et celle du soufre ainsi que celle de la pluie après un orage. J'aime marcher sur les pavés sans toucher les lignes, je être obligé de m'arrêter dans la rue car il y a trop de monde devant moi, j'ai un trouille bleue des coupures de courant et des ascenceurs. Mes amis me qualifieraient surement de folle et je dois avouer qu'il n'ont pas tord. Mais j'assume ce que je suis et j'en suis mêe très fière .

the hardest person to know is one's self

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le monde aurait put s'écrouler que ça n'aurait rien changer . Durant les neuf mois que j'ai passé dans le ventre énorme de ma mère j'avais une soeur et sans qu'on puisse m'en expliquer précisément les raisons, à ma naissance, je me retrouvais fille unique. La vie est ainsi, on a pas toujours ce qu'on veut, pas vrai ?! Les médecins avaient le choix, nous sauver moi et ma soeur et par conséquent tuer ma mère, ou n'en sauver qu'une seule de nous deux et préserver la vie si fragile et si importante à mes yeux de ma procréatrice. Je ne vais pas aller jusqu'à vous dire que c'est ce qui m'a donné envie d'étudier la médecine et qui m'a permis de me retrouver dans une université spécialisée, mais sans vous mentir je pense que, inconsciemment, ça m'a fait réaliser quelque chose d'important, même si je n'avais que quelques heures : Plus tard je voulais sauver des vies.

t'as eu ce que t'as voulu, mais t'as pas voulu ce que t'as eu . Je vais vous épargner les phrases du genre " J'ai eu une enfance des plus joyeuses dans une famille vraiment aisée qui n'avait d'yeux que pour moi " pour deux raisons : la première, parce que c'est loin d'être la vérité et la deuxième, parce que même si c'était le cas, je peux vous assurer que jamais je ne m'en serais vanté, j'en aurais plutôt honte par rapport à ceux qui grandissent dans la misère. Pour en revenir à nos moutons, j'ai grandit avec mes parents dans la ville, si on peut appelé ça une ville, de Dingle en Irlande. Mon père travaillait dans une compagnie d'assurance très réputée et ma mère était propriétaire de sa propre galerie de photographie depuis peu. J'avais à peu près trois ans quand tous deux m'ont annoncé que j'allais avoir un petit frère. Oh oui, au départ l'idée m'enchantait vraiment mais aujourd'hui je m'en mord les doigts tous les jours. C'est donc cinq mois plus tard que je me retrouvais à l'hôpital, pour le première fois depuis ma naissance, pour accueillir le nouveau venu dans la famille : Neal.

la chance, on l'a ou on l'a pas hein ! moi je l'avais pas .. On peut dire que c'est lors de mon entrée à la primaire que j'ai commencé à montré ma vraie nature, celle d'un " garçon manqué ". En effet j'avais déjà plus d'amis garçon, que d'amies filles, ce qui explique certaines choses. Mon passe-temps préféré c'était de monter dans les arbres ou de jouer aux Bionicle avec mon frère plutôt qu'aux Barbie avec des amies. J'étais heureuse de vivre comme ça, mais la mentalité des gens au collège ne dépassant pas les cinq ans, j'ai du subir les moqueries des autres, me renfermant sur moi-même. Mes vrai(e)s ami(e)s se comptaient sur les doigts de la mains. Cette situation m'oppressait à tel point que j'ai commencé à devenir dépressive et je peux vous dire que je ne suis pas fière de ce que je m'infligeais. A la fin de ma dernière année de collège, mon père fut muté à Los Angeles et nous avons donc déménagé, c'était l'occasion pour moi d'un nouveau départ.

l'amour est aveugle et la folie lui sert de guide . En effet au lycée tout à changé. Dès le premier jour j'ai sut m'imposer et me faire des amis. Plus personne ne me jugeait sans vraiment me connaitre, vu que personne ne me connaissait. Le lycée ce fut aussi le début de mes histoires de coeur foireuses. Je ne vais pas vous raconter toutes mes aventures, on serait encore là demain, ce que je peux vous dire c'est que j'ai toujours eu le chic pour aimer des garçons complètement inaccessibles, je ne citerais qu'un seul exemple, celui d'un garçon que je trouvais parfait, mais quand je dis parfait c'est vraiment parfait : gentil, drôle, magnifiquement beau et tout, et tout ! Quand j'étais avec lui c'était juste génial, je ne rigolais jamais autant. Et puis un jour j'ai appris d'une amie à moi qu'il voulait devenir curé, je vous dis pas le choc ! A la fin de ma dernière année de lycée j'ai dut affronter le pire événement de ma vie : la mort de mon meilleur ami. J'ai passé des années à chercher le garçon qu'il me fallait alors que je l'avais sous les yeux depuis le début ... Tourner la page n'est pas facile ...

elle est pas belle la vie ? C'est lors d'une visite dans les plateaux de tournages de Hollywood, que j'ai réalisé que ce à quoi je m'étais prédéstiné n'était pas vraiment ce que je voulais faire. Quand on est enfant on rêve de strass et de paillettes de devenir chanteuse reconnue ou actrice et par la suite la réalité nous rattrappe; on atterit dans un boulot minable, qu'on rêve de quitter mais on a 4 bouches à nourir à la maison et donc l'argent doit rentrer, et vous ne pouvez même pas compter sur votre mari puisque soit il est parti avec la baby-sitter soit il est au chômage. Moi c'est le contraire j'ai grandit avec l'ambition de devenir une grande medecin et de sauver des vies et finallement j'ai quitter l'université de medecine dans laquelle j'avais reussi à entrer après seulement un an pour commencer ma carrière de comedienne.

parce qu'on est jeunes et cons ! surtout cons ... Bien que j'ai commencer le théatre très tard, je dois l'avouer j'étais doué et je ne tardais pas à me faire remarquer pour tourner dans des pubs. Mes parents étaient passé par différentes humeur entre temps, l'incomprehension tout d'abord, à cause de mon abandon soudain de la medecine, puis la colère, car la somme qu'ils avaient investi dans mes etudes était importante, le doute ensuite, personne ne savais que j'allais être doué, et enfin la fiéreté, à ça oui ! il son fière, très fières même et très heureux pour moi. La comedie, j'avais ça dans le sang et ça se voyait, de plus j'aimais ce que je faisais. Mes amis n'ont pas compris ce qui m'était arrivé mais malgré cela elle m'ont toujours soutenu.

parce qu'on ne sait jamais . Aujourd'hui je suis connue et reconnue, mais n'allez pas imaginer que la célébrité me soit monté à la tête au contraire. Je ne vit pas dans une villa luxurieuse en bord de mer, je n'ai pas sept voitures hors de prix, une pour chaque jour, je ne couche pas à droite; à gauche avec le premier venu. En réalité ma vie n'a pas tellement changer, la seule chose c'est que maintenant j'ai beaucoup moins de temps pour voir ma famille et mes amis, ce qui ne m'empêche pas de leur rendre visite de temps en temps tout de même. D'ailleurs ce sont mes parents et mes amis, mes plus grands fans, toujours là pour me supporter et m'encourager. En somme je suis restée la même, avec un peu plus d''argent et un peu plus de connaissances .
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