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| Sujet: Alex Boccardi - fini?! Jeu 31 Déc - 5:45 | |
| BOCCARDI Alex« i just want back in your head. »
| nom :: Boccardi. prénom :: Alex. âge :: 23 ans. habite à :: Los Angeles. attirance sexuelle::Hétéro. origines :: Anglaises. groupe :: Just for them. avatar :: Jared Padalecki.
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'cause it's just how i am. QUALITÉS ET VERTUS.AMBER – « T’as un cœur d’or, Alex. » PETER – « Bah dis donc, t’es malin frérot. » MAMAN – « Tu sais qu’être sensible ça veut pas dire être faible? Écoutes pas ces sôtises… » MR. JACK – « Vous êtes persévérant. Ça vous mènera loin, soyez-en sûr. » JUNE – « Tu veux savoir pourquoi toi? Parce que t’es attentionné comme douze. » RILEY – « T’es l’ami le plus fidèle qui soit. » PATRICK – « Alex?! Bah c’est l’gars toujours souriant qui profite de la vie. » ZACH – « T’as curiosité m’fait chier. T’es pas obligé de tout savoir, tout l’temps. » DÉFAUTS ET VICES.PENELOPE – « C’que tu peux être naïf comme gars, ça fait pitié. » ANTWON - « Si j’avais su que t’étais autant mauvais perdant, jt’aurais laissé gagner que j’ai pas à supporter ton air de bœuf maintenant que la partie est finie. » DIRECTEUR – « Vous avez besoin d’aide et va falloir piler sur votre orgueil démesuré pour l’admettre M. Boccardi. » PAPA – « Tu tiens ta tête de cochon de ta mère, pas de moi c’est certain. » GEORGINETTE – « Non on n’est pas bientôt arrivés! Mais ça suffit l’ impatience, Alex! » PROFESSEUR – « T’es trop introverti. Tu devrais te lâcher lousse un peu plus souvent. Ça pourrait être utile pour ton avenir tu sais. » AURÉLIE – « Si t’étais moins jaloux aussi, tu te rendrais peut-être compte que tu passes à côté de quelque chose! » HARRISON – « Arrêter d’être aussi pensif, ça gâche le plaisir. » the hardest person to know is one's self. J’AI UNE SECONDE; L’âge où je pleure, pleure, pleure.
Le médecin - soit la première personne à avoir aperçu mon coco imberbe – griffonne sur mon certificat de naissance le nom « Alex Boccardi ». Ma mère est émue et laisse les larmes couler sur ses joues alors que pour ma part, je pleure mais sans raison apparente. Je ne comprends toujours pas pourquoi ma naissance avait fait un aussi grand remous, puisqu’en fait la situation était exactement la même qu’avec mes quatre frères cadets.
J’AI TROIS ANS; L’âge où le meilleur ami n’est plus ton voisin; techniquement...
La gardienne que maman engage – parce qu’avouons-nous le, mes grands frères ne peuvent pas assurer ma garde sans danger – est maigrichonne et ne sourit jamais. Je la déteste, sans avoir de raison valable pour le faire. À cet âge de toute manière, on déteste qui on veut et on aime qui on veut. Assis au salon à jouer dans mes affaires sans me préoccuper du programme merdique que ma nounou, évachée sur le divan écoute, on frappe à la porte. Je redresse la tête et voit rapidement Fred traverser le corridor pour tourner la poignée avant même que la marabout qui me sert de « maman-remplaçante » n’ait cligné des yeux. Je ne vois rien, mais j’entends tout.
ANGELA – « On joue à cache-cache chez Suzie, tu viens? » FRED – « Mouais. TOMMY, ZACH, PETER, AMENEZ-VOUS! » Un tremblement de terre a lieu dans l’escalier alors que les autres résidents de la maison montent à toute vitesse pour rejoindre la tribu de jeunes de la rue du Moulin qui, comme à chaque soir se réunit pour faire tout et n’importe quoi jusqu’à ce que les parents obligent leur gamin à rentrer. Je lève mon popotin du tapis, jette un regard à la jeune adolescente qui me dénigre d’un simple regard en faisant gonfler sa gomme balloune avant de répliquer à ma question muette.
HELENA – « Non. » ALEX – « … » HELENA – « Tes parents m’payent pour veiller sur toi et j’ai pas envie d’aller dehors. » J’utilise mon seul moyen de défense et je boude, reposant mon derrière sur ce tapis qui me semble maintenant moins confortable. Mes voitures deviennent ridicules et cette émission de télévision me fait grincer des dents. On frappe de nouveau, à la fenêtre cette fois. Je redresse la tête et aperçois une silhouette qui m’est trop familière pour que je ne la reconnaisse pas. Je fais une grimace en réalisant qu’elle a droit de rejoindre la bande alors que je suis coincé dans cette maison avec la seule personne que je déteste au monde. Je m’approche de la fenêtre, grande ouverte et protégée par un moustiquaire usé et j’entame la conversation à Riley.
ALEX – « J’ai pas l’droit de sortir. » RILEY – « Pourquoi? » ALEX – « Parce que. » RILEY – « Bah j’ai pas envie d’y aller debord. » ALEX – « T’adore jouer à cache-cache. » RILEY – « J’peux rester avec toi? » J’avais dévié le regard vers Helena qui n’avait même pas daigné répondre – ce qui dans son langage à elle signifiait qu’elle n’en avait rien à foutre. J’avais donc reporté mon attention sur ma meilleure amie à l’extérieur de mon chez-moi et j’avais hoché la tête d’un coup sec, étirant le sourire le plus sincère que je pouvais, heureux de retrouver ce même sourire sur son visage à elle.
J’AI SIX ANS; L’âge où je mets de côtés ces histoires de cigognes.
PAPA – « Tu devrais faire un test quand même. » MAMAN – « J’ai pas envie d’pisser sur un bâton, je le sais, point final. » ALEX – « Sais quoi, maman? » MAMAN – « Tu vas avoir un petit frère ou une petite sœur Alex! » PAPA – « Peut-être que… C’est pas certain à cent pour cent. » MAMAN – « J’ai été enceinte cinq fois, je connais l’effet. J’le suis j’te dis. » ALEX – « Papa avait dit que la cigogne avait déjà assez donné ici. Elle va revenir quand même? » MAMAN – « Oui poussin, elle va revenir. C’est une bonne chose tu sais. Y’a plein de gens chez qui la cigogne ne passe jamais. » ALEX – « Ahh. » Les cigognes. C’est drôle comment l’arrivée de la cigogne changeait des choses à la maison. Comment le ventre de maman grossissait, impatient de l’attente; comment son caractère changeait aussi. Et je m’étonnais de la quantité de beurre de peanuts qu’elle pouvait ingérer par jour. Et comme ça, du jour au lendemain, le ventre a dégonflé, les hormones sont tombées et le beurre de peanuts a pris le bord. Ce qui m’étonnait le plus c’est que la cigogne ne livrait pas à domicile, elle nous donnait le bébé à l’hôpital. Et d’ailleurs, j’crois que maman a eu quelques embrouilles avec la cigogne parce qu’elle a beaucoup crié. Au final, l’oiseau a cédé et j’ai pu entrer dans la chambre avec Fred, Zach, Tommy et Peter pour apercevoir la petite chose. Une fille, une petite sœur.
J’AI SEPT ANS; L’âge où j’apprends que la tristesse ce n’est pas seulement de ne pas recevoir le cadeau désiré par le Père Noël…
Je sais qu’elle s’en va et pour la première fois, j’aimerais ne pas être un enfant. Pouvoir changer quelque chose à cette situation déchirante. Je renifle de plus en plus, la gorge obstruée. Même Fred, Tommy, Zach et Peter n’arrivent pas à rire de moi parce que je pleure, tellement la scène fait pitié à voir. Les bras pendants le long de mon corps, j’étais agité de petits sanglots, ne clognant presque pas des yeux, observant Riley de l’autre côté de la rue dans cette fenêtre si familière. Elle pose sa main sur le carrelage frais et elle quitte les lieux. Je sais qu’elle vient me faire ses adieux et ça me dévore de l’intérieur. Ma mère chasse mes frères au sous-sol avant d’ouvrir la porte à ma voisine et meilleure amie. Elle se décale de la scène comme pour nous laisser un semblant d’intimité et je relève les yeux vers la blondinette, ravalant mes larmes avec orgueil.
ALEX - « Riley.. » RILEY - « Alex.. » ALEX - « Tu vas me manquer Riri, tu le sais ça ? » RILEY - « Toi aussi Bocco’. » J’avais mis tous les efforts du monde à prononcer ses mots, ma voix prête à flancher à n’importe quel moment. Le père de Riley l’attendait sur le seuil de la porte avec une impatience que je détestais de tout mon corps. Ma jeune amie lui avait jeté un coup d’œil rapide avant de reporter ses yeux sur moi, sachant que la fin approchait. Ses lèvres s’étaient doucement posées sur ma joue encore humide des larmes que j’avais versées et elle avait quitté la maison sans un mot de plus. J’avais marché vers elle jusqu’à l’extrémité du balcon, serrant la colonne de bois contre moi, fixant Riley, ses parents, ses affaires et toute sa vie déguerpir de cette ville qu’était la mienne. Elle m’avait lancé la main et j’avais de même, continuant même une fois le camion hors de vue. Ma mère venait de réapparaître derrière moi et j’aurais voulu qu’elle soigne mes bobos; qu’elle répare ce cœur brisé qui battait faiblement dans ma poitrine.
J’AI TREIZE ANS; L’âge où j’apprends à jouer, mais autrement qu’à ces jeux d’enfants.
Sur scène, je ne vois rien du public, simplement aveuglé par les éclairages puissants. Le rideau s’abaisse m’offrant le répit de cet aveuglement constant sans pour autant ménager mon ouïe qui subit le son de ses applaudissements sans fin. Un sourire nait sur mon visage, l’air accompli. Cette émotion, difficile à décrire, me rend léger et alors que le rideau se soulève de nouveau et que les autres participants à la pièce s’entassent à mes côtés, je vois clair sur ma vie. C’est ce que je veux, c’est mon destin. Je trouverai le moyen de me retrouver sur ce genre de scène, le moyen de me rendre vers le marché du théâtre et du cinéma qu’est Hollywood. Mais surtout, le moyen de revenir vers elle. Les images défilent dans ma tête alors que le temps semble figé. Je revois ce film dans lequel jouait Riley; cette comédie romantique à petit budget avec cette fin des plus prévisibles. Et je voulais être lui, lui qui la serrait dans ses bras alors que les lettres F-I-N apparaissaient à l’écran. Et cette impression d’accomplissement serait ma source de valorisation pour toute une vie.
now, the person behind the screen.
prénom et/ou pseudo :: Chantou. âge :: 19 ans. comment tu es arrivé ici ? :: J'avais un gun sur la tempe, haha. (a) et alors, t'en penses quoi ? :: Mes yeux sont trèss satisfaits. taux de geekatittude :: 4-5 jours par semaine. code du règlement ::- Spoiler:
Validé par Zane exemple de rp :: - Spoiler:
Malgré la dispute qui se faisait sentir à plein nez, je savourais le moment. Certaines pièces du puzzle en place rendaient les choses particulièrement plaisantes. Pour commencer, le costume de Maia - quoi que bien différent de ce que je connaissais de la jeune femme – était un bonus visuel. Ensuite venait l’avantage que j’avais sur la situation, puis finalement, le sujet abordé qui me tenait hors d’haleine. AARON - « J’croyais que j’sentais bon ? » MAIA - « Bah ne le crois plus, parce que ce n’est pas le cas. » J’avais approuvé d’un signe de tête, alors que ce commentaire ne m’avait fait ni chaud ni froid. De toute manière, entre la Maia sans barrière qui m’admettait tout sans retenue et la Maia sur la défensive qui s’empêchait de révéler quoi que ce soit, je trouvais bien plus simple de me fier à la première. Alors que le maquillage qui recouvrait mon corps commençait à me démanger, je me grattai le torse avant d’apercevoir ses réactions toujours de plus en plus prévisibles et révélatrices. AARON - « Et j’croyais que tu pouvais pas l’oublier. Y m’semble que tu m’as même dit et je cite « Je pourrais jamais t’oublier. » MAIA - « J’vois pas de quoi tu parles O’Connor. » AARON – « Ah come on Maia! On sait très bien tous les deux c’qui se passe dans ta p’tite tête. Et t’es pt’être pas prête à l’admettre, mais prends-moi pas pour un con.» Aucune réaction, aucune réponse. Elle patauge avec difficulté, ne cédant pas pour autant, même face à cette cause perdue. La haine est palpable dans l’air, autant que l’intensité du moment. Comme si tout était une question de vie ou de mort. Comme si, tout valait de l’or. MAIA - « Non seulement ce n’est pas minable, mais je te dis que je ne me souviens de rien putain! Y’a rien qui passe entre tes deux oreilles ou quoi ? Ce serait pas très surprenant certes.. » AARON – « Crois-moi, c’est minable. Et tu veux savoir c’qui est encore pire? L’acharnement que tu y mets. » Son jeu d’acteur était brisé. Elle avait tout perdu, mais ne l’admettait pas encore. Ce n’était plus qu’une question de secondes avant que le vent tourne. J’étais prêt, prêt à ce qu’elle admette que j’avais raison sur toute la ligne, simplement pas véritablement prêt à ce qui s’en suivrait. Le moment présent. Fallait que je ne me préoccupe de rien d’autre. Je pesais chacun de ses mots, cherchant la preuve irréfutable de ce que j’avançais. Et comme si elle avait momentanément oublier de revêtir son masque, elle venait de répliquer sur l’impulsion sans couverture. AARON - « Ah et si ça peut te rassurer, on n’est pas obligé d’aborder le moment où tu m’as avoué être.. Comment t’as dis ça déjà ? Ha oui, « malade d’amour » MAIA - « J’AI JAMAIS DIS ÇA! » Un sourire vainqueur venait d’orner mon visage verdâtre et maintenant les pieds sur le sol, face à Maia qui réalisait son erreur sans y porter trop attention, je répliquai tellement calmement que s’en était provocateur. AARON – « Pt’être. Mais tu l’as pensé. » Elle bouillonnait de l’intérieur, prêt à se lancer sur moi en hurlant. Et pourtant, je ne bougeais pas, sachant pertinemment que cette bataille m’appartenait entièrement et que d’arrêter ses petits bras en pleine attaque serait un jeu d’enfant. MAIA - « J’ai peut-être dit bien des conneries, mais jamais j’ai dit que j'étais malade d’amour. C’est ce que tu en as déduit imbécile, mais t’as aucune idée de ce que je voulais dire en réalité. » AARON – « Et qu’est-ce que tu voulais dire exactement? » Elle était prise au piège. Encerclé dans son donjon isolé et j’avais presque pitié pour la proie que je venais d’abattre sans effort. Dans chacune de nos rencontres, chacune de nos discussions, il y avait un gagnant et un perdant. Et à tout coup, l’un revenant vers l’autre, comme s’il en demandait plus, comme si ce n’était pas assez. J’avais ajouté une goutte de trop en prenant mon air fendant et en me croisant les bras, patient d’entendre sa réponse. Ses yeux, pour leur part, s’emplissaient d’haine. AARON – « Ah et, pendant que tu réfléchis à ta réponse, j’aurais une autre question pour toi. J’connais Alec depuis un bon moment d’jà et au nombre de filles qui passent dans ses bras, j’voulais savoir.. Il en vaut vraiment la peine? Parce que tu sais, vu qu’il change de conquête tous les soirs, j’me disais que c’était peut-être parce qu’il arrivait pas à les satisfaire vraiment… » C’était plutôt médiocre comme commentaire. Surtout envers Alec que je considérais comme un ami à temps partiel. J’étais loin de penser tous ses mots, j’utilisais simplement l’occasion pour chambarder un peu plus Maia qui perdait totalement pied. De plus, je n’en voulais pas à Alec d’avoir été vers Maia, ou du moins, pas autant que j’en voulais à Maia de coucher avec n’importe qui et tout l’monde. un p'tit mot ? :: Anticonstitutionnellement?!
Dernière édition par Alex Boccardi le Dim 3 Jan - 3:34, édité 1 fois |
| | | Zane Nehemiah Spencer« Who I Am... » WOMANZANER ♫
♦ INSCRIPTION : 11/08/2009 ♦ MESSAGES : 1756 ♦ AGE : 30 ♦ METIER : musicien, acteur, producteur ♦ LOVE : the prettiest of barbies ♥
| Sujet: Re: Alex Boccardi - fini?! Jeu 31 Déc - 13:14 | |
| PADACHOU ♥♥
Bienvenue sur le forum ! Je valide le code et bonne continuation pour la suite de ta fiche |
| | | lunahbee jazz emrysBEE ♥ « take the best, fuck the rest. »
♦ INSCRIPTION : 31/07/2009 ♦ MESSAGES : 735 ♦ LOVE : HAHAHA. my puppy. ♥
| Sujet: Re: Alex Boccardi - fini?! Jeu 31 Déc - 14:11 | |
| BIENVENUUUE merci pour ton inscription, amuse toi bien parmi nous héhé (: |
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| Sujet: Re: Alex Boccardi - fini?! Jeu 31 Déc - 14:15 | |
| OH OUAIIS. Padapousexé Tu sais que j'viens d'me taper cinq épisodes de Supernatural ? *OUT* Bref. Good lucky luck. (aa)
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| | | November Rain DowneyNOVEMBER RAIN ❤ - It's all about the Climb
♦ INSCRIPTION : 31/07/2009 ♦ MESSAGES : 2466 ♦ AGE : 30 ♦ LOVE : everybody knows we are together but nobody will ever know how much i love you
| Sujet: Re: Alex Boccardi - fini?! Jeu 31 Déc - 14:28 | |
| Bienvenuuue & Bonne continuation pour ce qui reste de la fiche =)) |
| | | London Ruby Petterson
♦ INSCRIPTION : 10/08/2009 ♦ MESSAGES : 647 ♦ METIER : chanteuse, actrice. ♦ LOVE : this guy is a danger!
| Sujet: Re: Alex Boccardi - fini?! Jeu 31 Déc - 14:31 | |
| Bienvenue :') |
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| Sujet: Re: Alex Boccardi - fini?! Jeu 31 Déc - 14:44 | |
| Welcommmmeee |
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| Sujet: Re: Alex Boccardi - fini?! Jeu 31 Déc - 18:58 | |
| Baby face, t'es lâche, vraiment. Ahaha, que les icons, franchement! Je t'aime quand même jeune enfant, et bonne chance pour cette fin des plus difficiles |
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| Sujet: Re: Alex Boccardi - fini?! Jeu 31 Déc - 19:28 | |
| Merci tout l'monde.
Et ouep, me reste pratiquement que les icons, la lâcheté m'a eu. Nan sérieux, j'fais ça au courant d'la journée for suree. (a) |
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| Sujet: Re: Alex Boccardi - fini?! Jeu 31 Déc - 22:47 | |
| Bienvenue ! |
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| Sujet: Re: Alex Boccardi - fini?! Dim 3 Jan - 3:34 | |
| Eumm, j'crois que j'aurais fini... (a) |
| | | Winnie Lynn Woodson« ☮ ; ♥ αααnd winnie lynn woodson !
♦ INSCRIPTION : 11/08/2009 ♦ MESSAGES : 1192 ♦ AGE : 30
| Sujet: Re: Alex Boccardi - fini?! Dim 3 Jan - 4:30 | |
| premièrement; je te souhaite la bienvenue ^^ merci de ton inscription sur LTD, J'espère que tu t'amuseras bien parmi nous. Belle présentation je te valide ^^ |
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| Sujet: Re: Alex Boccardi - fini?! | |
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