Winnie Lynn Woodson avait le coeur en miette. Elle ne réalisait pas ce qui se passait présentement. Elle n'en revenait tout simplement pas. Des larmes perlaient ses joues blanches. Malgré qu'elles brouillait sa vue, elle tentait avec autant de bien que de mal d'écrire la lettre qu'elle rédigeait. Un sac de sport remplis de vêtement à ses pieds l'attendait, près à quitter la maison, sa maison. Cette situations lui donnait la nausée, c'était trop gros. Tout son univers était en train de s'effondrer autour d'elle. Ce matin était un jour normal. Elle partait comme tous les matins très tôt, trop tôt pour aller travailler sur son deuxième album ou alors pour des entrevue dans une autre province des État-Unis. Ce matin, c'était un simple photoshoot pour le prochain cover du magasin Seventeen. Elle ne pensait pas vivre ce qu'elle allait vivre ce jour-là. Tout le monde sur la plateau agissait de façon étrange. Il semblaient l'éviter et ceux qui devait travailler avec elle évitait de parler de tout sujet qui se reliait à son futur mariage, époux ou bien les magazines, pourtant, elle était là pour les photo d'un magazine, justement. Elle ne comprenait rien, mais ne faisait aucun drame avec cela. Souvent, c'est lorsqu'une rumeur étrange à son sujet sortait dans les premières pages des magazines à potins. Toujours fausses et toujours bien marrantes aux yeux de la brunette. Ce qu'elle ne se doutait pas, c'est que cette fois-ci. Cette rumeur était fonder et cette rumeur allait lui faire plus de mal qu'elle aurait pu le penser. Après s'être fait coiffer, elle se dirigea vers la salle où la prise de photo allait avoir lieux. En chemin, elle s'arrêta, quelque chose lui avait attirer le regard. La photo de son fiancé sur un magazine à potins. Curieuse, elle observa la couverture. "Nicholas retrouve son père: David Liam Spencer" Avec une photo de l'enfant et de son copain en gros plan sur la couverture. C'était évident, comment n'avait-elle pas pu s'en douter avant. Ce magazine dataient de deux semaines. À l'intérieur, on y disait qu'une source certaine avait entendue David et la mère de l'enfant discuter dans un Starbucks dans la première semaine de Décembre.

Un mois, un mois de silence. C'était la seule chose qu'elle pouvait ce dire, un mois. Malgré le choc, elle devait continuer son travaille. Elle devait aller prendre ces photos, ressortir tard de cette endroit et partir. Cette journée fut atrocement longue pour la jeune femme. À la minute qu'on la laissait seule, les larmes montaient sans même qu'elle ne peuvent les retenir, obliger des les essuyer et de continuer son travaille comme une professionnelle. Elle n'avait rien pu se mettre sous la dent, le coeur trop gros, elle n'aurait pi envaler qu'un simple verre d'eau. Arriver dans leur demeure, elle savait qu'il ne serait pas là. Même s'il était tard, il allait arrivé dans les petites heures du matins. Ce qui lui laissait du temps. Elle ne pouvait lui faire face. Le voir lui ferait perdre son esprit. Elle ne pourrait plus parler tellement elle pleurerait et elle malgré elle, la seule chose qu'elle aurait envie de faire serait de lui pardonner tout ce qui venait de lui arriver. Il se doutait de rien, ni lui ni elle li ce genre de truc normalement, normalement elle n'aurait rien vue et aurait peut-être jamais su la vérité. Après avoir mit u n'importe quoi dans son sac, elle s'assit à la table, cherchant quoi lui écrire pour lui expliquer son départ soudain. Même si il est celui qui devait s'expliquer, elle ne pouvait partir sans lui laisser au moins cela. Un adieu. Elle détestait ce qu'elle devait vivre et voulait crier. Elle aurait voulu ne jamais savoir, ne jamais se rendre compte qu'il lui mentait. Il lui cachait qu'il avait un enfant. Un mariage ne peu être bâti sur le mensonge. Leur relation ne pouvait tenir après cela. C'était trop. Malgré les effort qu'elle faisait pour trouver les mots juste à lui écrire, tout ce qu'elle avait réussit à inscrire sur la feuille était qu'elle l'aimait, qu'elle était désolé et que c'était terminé. Malgré elle, c'était terminé. C'était trop pour elle, elle ne voulait pas vivre ce genre de vie, lui mentir n'a jamais été et ne sera jamais la bonne solution.

La maison entière était silencieuse, le seul bruit qu'on pouvait y entendre était celui de Winnie qui sanglotait, malgré le fait qu'elle faisait tout ce qu'elle pouvait pour stopper ses larmes. Simplement parce que'il ne les méritait pas. Il lui avait menti voilà tout, rien n'avait besoin d'être ajouter. Peu importe ces excuses, rien ne mérite d'être caché dans un couple surtout pas l'existence de son enfant. Ce n'était pas rien, il croyait vraiment pouvoir lui cacher, la marier et par la suite vivre dans le mensonge. C'était insensé. Il avait probablement ses raisons, ses peurs qu'elle le quitte ou qu'elle réagit mal. Il savait qu'elle n'était pas prête à avoir un enfant, il savait qu'un enfant était une grande responsabilité et s'il la mariait, elle allait devoir l'inclure dans sa vie. Elle aimait les enfants et encore plus Nicholas, mais elle n'était pas prête à être mère ni même belle-mère. Elle voulait un enfant, mais pas maintenant. Elle ne voulait pas que cette enfant vivre une vie sous les projecteurs, simplement parce que le nom de ses parents était connu. Il avait le droit à une enfance normale avec des parents présent et le temps était la chose qui manquait le plus à ce jeune couple. Elle adorait les enfants, en voulait, mais pas maintenant. Quand elle entendu résonner dans l'entrée le son de la porte s'ouvrir, Winnie senti son coeur s'arrêter, un poids de peur devint lourd sous sa poitrine et si elle l'aurait pu, elle serait sortie par l'arrière et ne l'aurait jamais revu. Elle était prête à le faire, mais elle se doutait qu'il lui demanderait des explications, du moins une minutes de son temps pour lui faire des explications. Quand le son de sa voie se rendit aux oreilles de la brunette, elle voulu rire. Lorsqu'il dit la réplique qu'elle lui avait dit chaque fois qu'il tentait d'être sérieux, mais quand elle voulu simplement sourires, les sanglots continuèrent et de façon bien plus constante. Elle tentait de respirer, mais paniquait trop à l'idée de croiser son regard, aujourd'hui, ça en était trop et le voir lui enlèverait le peu d'énergie qu'il lui restait.

Ces pas résonnaient dans la cuisine, elle avait la tête base, fixant ses deux mains, ses doigts de sa main droit jouant avec sa bague de fiançailles et elle se répétait sans cesse mentalement qu'il était temps de l'enlever. Elle pouvait voir les fleurs et le chocolat qu'il avait déposer sur la table, si elle en aurait eu le courage, elle les aurait balancé sur le mur. Des cadeaux n'arrangerait rien pensait-elle. Rien de cela ne la consolerait, rien ni même les meilleures excuses du monde n'arrangerait. Le mal avait été fait. Quand il prit la parole pour une seconde fois, elle eut l'impression que quelqu'un piétinait son coeur, comme si elle en avait besoin. Elle retint ses larmes du mieux qu'elle le pouvait et fut seulement capable de faire un signe de la tête pour lui répondre que oui. Elle avait ouvert la bouche, mais sa voie avait craquer et la seule chose qu'elle pouvait faire, c'était de continuer de pleurer.

Elle comprenait tout maintenant. Ni lui, ni elle n'avait vraiment de temps pour une vie privée, mais ces derniers temps, il était encore moins présent qui ne l'avait jamais été. Normalement, ils tentaient le plus souvent possible d'avoir leurs jours de congé le même jours, du moins, lils faisaient de leur mieux pour pouvoir voir unejournée simplement pour eux. Depuis un moment, à la dernière minute, il devait aller travailler sur son album ou alors aller aider un de ses frères et n'avait plus de temps pour elle. Il devait avoir passer ce temps avec Nicholas et Lexia. Il n'avait plus de temps pour elle, il n'avait plus assez de temps pour cette vie bien trop chargée. Il devait chercher une façon de lui dire qu'ils devraient peut-être attendre avant de se marier ou alors que ses sentiments pour Lexia avait refait surface. Après tout, il avait déjà éprouver plus qu'un de amitié pour Lexia et peut-être avec tout ce temps passer avec elle et son fils, il avait découvert qu'il l'aimait toujours autant. Les penser de Winnie Lynn étaient troublées, elle ne savait quoi penser, elle ne savait plus quoi faire. Ces penser n'avait plus de sens. Elle rassembla le peu d'énergie qu'il lui restait pour avoir un peu de courage et ainsi lui répondre. « Oui, je sais et je comprends. » Elle disait n'importe quoi et avant de le laisser continuer elle respira un bon coup entre deux sanglots et continua, « Non, à vrai dire je comprends rien, mais je n'ai pas vraiment le choix » Il ne devait rien comprendre, elle ne savait pas elle même si elle adressait la parole à Liam ou si elle se parlait à voie haute. Était-ce ses pensées qui passaient beaucoup trop vite dans sa tête qui l'étourdissait ou bien l'émotion? Elle essuya les larmes qui perlaient ses deux joues et remarqua que sa feuille n'était pas lisible, les larmes l'avaient brouillée et qu'il n'y comprendrait probablement rien.