Living The Dream
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there’s one way out and one way in ♦ novyy

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lunahbee jazz emrys
BEE

« take the best, fuck the rest. »
lunahbee jazz emrys

♦ INSCRIPTION : 31/07/2009
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MessageSujet: there’s one way out and one way in ♦ novyy there’s one way out and one way in ♦ novyy Icon_minitimeMer 6 Jan - 22:18


                there’s one way out and one way in ♦ novyy 9480230001. there’s one way out and one way in ♦ novyy 28wmfj5
                N O V E M B E R DOWNEY
                  L U N A H B E E EMRYS
                What is this I feel, why is it so real What am I to say It’s only love, it’s only pain It’s only fear, that run through my veins It’s all the things you can’t explain That make us human I am just an image of, something so much greater I am just a picture frame, I am not the painter.♥️
Après de longues heures d'avions qui lui avaient paru interminables, Lunahbee Jazz Emrys posa enfin pied en Grand-Bretagne. Oui, elle était enfin dans le pays de la reine ! Bien qu'elle soit partiellement britannique, Bee n'y a jamais vécu mais elle a toujours réellement adoré ce pays. Elle a toujours adoré Londres et son ambiance. Elle se souvient qu'elle accompagnait toujours ses parents quand ils devaient se rendre dans la capitale britannique pour une quelconque raison. Cependant, cette fois-ci, ce n'est pas pour du tourisme qu'elle est ici. Non, mais plutôt pour promouvoir son dernier film. Mother Road. Elle y jouait Noah Markson, lycéenne tout sauf populaire quittant l'école pour prendre la route en compagnie de quelques amis. Évidemment, il leur arrive un tas de choses assez dramatique. Selon elle, c'était l'une de ses meilleures interprétations. Bien sur, ce n'était pas le meilleur film de tous les temps, ça c'était clair, mais Bee avait pris beaucoup de plaisir à le tourner et elle hâte de pouvoir le présenter au monde. néanmoins, la promotion n'est pas la chose qu'elle préfère. Sourire niaisement et répondre constamment aux même questions partout dans le monde, c'était pas trop son trip. Contrairement à ce qu'on pourrait croire, d'ailleurs. Ouais, il est clair qu'elle préfère une bonne soirée entre amis en boîte ou que sais-je plutôt que se pavaner sur un tapis rouge. Mais bon, c'est un peu obligé. Et puis elle fais ça également pour ses fans sans qui elle ne serait pas là. Quand elle y pense, elle se dit qu'elle est probablement l'une des filles le plus chanceuse du monde. Pourtant, elle se sentait de plus en plus seule. Bien sûr, elle avait beaucoup d'amis avec qui elle adore passer des moments. Elle avait Neela, sa soeur, de qui elle se rapprochait de plus en plus. Il y avait Aidan, également, ce crétin congénital qu'elle ne peut pas supporter mais de qui elle ne peut se passer aujourd'hui. Malgré tout, Lunahbee ne va pas tellement bien ces temps-ci bien qu'elle ne le montre pas. Elle ne peut pas se permettre de le montrer, après tout. Oui, elle se disait que c'était injuste, qu'elle se devait d'être heureuse. Aujourd'hui, presque tous ses rêves s'étaient réalisés. Cependant, rien n'y faisait. Elle ne se sentait plus à sa place, peu importe où elle se trouvait. Le mal du pays ? Qui sait ? Quelques heures après être sortie de l'avion, Bee se trouvait assise sur son lit, dans sa chambre d'hôtel, à ne rien faire. En fait, les acteurs avaient leur matinée. Le reste du cast était sortit boire un verre mais elle n'était pas vraiment d'humeur. Pourtant, croyez-moi, c'est rare que Bee refuse de sortir. Il faut vraiment qu'elle se sente mal dans son assiette. Faut dire, elle était connue pour être de ses fêtards qui sortent beaucoup mais que ne sont font jamais prendre en étant ivre mort. Emrys connait ses limites. Les boîtes branchées, ça la connait. Néanmoins, elle sait quand elle va trop loin... Il y a quelques années, bien avant que sa carrière explose, quand elle vivait à New York, elle avait été une vraie junkie. Les substances illicites, elle ne connaissait ça que trop bien. Mais elle avait réussit à s'en sortir. Avec beaucoup de soutien de volonté, bien sûr ça n'avait pas été facile du tout. Mais elle s'en était sortie. Elle avait toujours gardé un gout bien prononcé pour la fête mais elle s'était promis de ne plus jamais renter à nouveau dans ce cercle vicieux. Jusqu'à présent, ça marchait plutôt bien. Bee décida de sortir un peu, de se dégourdir les jambes. Elle sortit de la chambre d'hôtel en attrapant sa veste et son sac à main à la volée. Dehors, il y avait quelques photographes mais ce n'était pas réellement comparable à la folie de LA. Elle sourit un peu aux photographes. Parfois, quand elle était de bonne humeur et que les paparazzis n'étaient pas trop désagréables, elle prenait la pose et discutait avec eux. Cette fois-ci, elle n'en fit rien. Non pas qu'ils étaient trop encombrants, juste qu'elle n'était vraiment pas d'humeur. Elle marcha perdue dans ses pensée une bonne vingtaine de minutes avant de se rendre compte qu'elle avait horriblement mal aux pieds. Elle n'avait pas choisit les bonnes chaussures pour de la marche... Elle se trouvait dans le quartier de Notting Hill. Elle se rappela qu'une de ses amies habitait provisoirement non loin d'ici. November Rain Downey. Pourquoi pas lui rendre une petite visite surprise ? Elle savait très bien qu'il devait être pas loin de 9h du matin et que on était dimanche mais elle avait vraiment envie de voir la petite anglaise à qu'elle n'avait plus vu depuis un moment. Elles s'étaient parlées au téléphone il y a quelques semaines mais c'est les seules nouvelles qu'elle avait d'elle. Il n'y a pas si longtemps que ça, Bee s'était mis en tête de décoincée Novy, elle avait même tenter de la rabibocher ; elle et Zane Spencer. Aujourd'hui, ces deux-là sont en couple et elle aime se dire qu'elle y est pour quelque chose même si elle n'avait vraiment pas fait beaucoup. Parfois, quand elle les voient tous les deux, elle se dit que ces comédie romantique kitsch disent peut-être la vérité ; que l'Amour existe vraiment. Quelque part, elle les envie. Après tout ce qu'ils ont traversé, ils sont à nouveau ensemble et c'est beau à voir. C'est vrai, elle s'est toujours proclamé "zovemberiene" à cent pour cent. Elle en était même arrivé au point de ne pas aimé l'ex fiancé de Novy sans le connaître car ils les avaient, en quelque sortes, séparés. En repensant à ça, Bee rit d'elle-même. Ce n'est pas vraiment dans ses habitudes de juger ainsi les gens, m'enfin. C'était la bonne époque... Elle se sentait tellement bien à ce moment-là. Ça ne remonte pas à si loin que ça, non, mais pourtant elle a bien l'impression qu'une éternité s'était écoulée. sans s'en rendre compte, Bee se retrouva devant la villa de November. Elle sonna, espérant qu'elle ne la réveillerait pas, ou alors qu'elle ne tournait pas aujourd'hui. Elle avait pensé à acheter des croissants, donc, si jamais elle la réveillait, elle ne pourrait pas lui en vouloir, non ? Franchement, on ne peut en vouloir à quelqu'un qui vous apporte le petit-déj', hein ?!
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November Rain Downey
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MessageSujet: Re: there’s one way out and one way in ♦ novyy there’s one way out and one way in ♦ novyy Icon_minitimeDim 10 Jan - 19:01

November était a Londres, oui ça tout le monde était au courant, dans sa villa de Notting Hill, celle-ci était certes bien diffèrente de celle de L.A ne serrait-ce que dans sa superficie mais elle l’aimait cette petite villa, malheureusement, ce qui était autour…Bon, non elle adorait Londres, ce n’était pas possible de detester Londres pour la simple et très bonne raison que Londres était tout simplement sa ville, son enfance, le théatre de ses premiers souvenirs, l’endroit ou elle avait decouvert ce qui la fesait vivre, ou elle s’était rendue vraiment compte que ce qu’elle voulait, ce n’était pas comme les autres enfants, elle ne voulait pas devenir maitresse d’école, elle ne voulait pas devenir une maman a plein temps, elle ne voulait pas faire comme toutes ces jeunes adolescentes, qui veulent revolutionner le monde, devenir la première grande avocate, la première astronaute…November ,et cela depuis qu’elle était capable de savoir ce qu’elle voulait, avait en tête de devenir actrice. Elle n’avait pourtant veritablement commencer qu’a 7 ans, pour finalement travailler dans les théatres Londonnien puis ceux de Broadway quand son père decida de partir vivre a New York, puis pour le bien de la carrière de ses filles, c’est a Los Angeles que les Downey partirent…La suite tout le monde la connait…November venait de terminer sa journée de tournage, les scénes d’aujourd’hui, avaient été plutôt dur a tourner : une scène sous la pluie, elle devait courir , hurler sur Cody (son costar), repartir , faire volte face, courir, lui sauter dans les bras, l’embrasser…Comme ça, cela ne semble pas compliqué et horriblement cliché…Mais le pluie , enfin la fausse pluie, se devait battante, tel un rideaux ce qui signifiait qu’elle allait certainement avoir froid, hurler sous la pluie était dur, a cause du bruit embiant, elle devait s’egosillier pour se faire entendre, partir en courant sans tomber a cause du sol glissant était egalement une autre paire de manche, sans oublier le fait de courir en sautant (romantique mais au combien chorégraphique ), puis d’embrasser Cody, chose qu’elle n’aimait pas particulièrement faire, elle venait de se reconcilier avec celui qu’elle aimait et embrasser ce garçon tout a fait inconnu et dont elle conaissait la copine, n’était pas vraiment très sympathique…Surtout quand on doit recommencer une bonne dizaine de fois comme ils le devait le faire car « le bras de monsieurs n’était pas dans le champ », « les cheveux de mademoiselle ne tombait pas correctement sur son visage »Bref, toutes ces petites choses qui ne rendait pas la prise « parfaite » donc utilisable pour le realisateur . A la fin, quand il avait enfin eu ce qu’il voulait, November partit, lachant juste un « bye » a tout le monde, elle attrapa son sac et ne chercha même pas a reprendre ses vetements, elle voulait juste rentrée chez elle, habillé de l’impérmeable de son personnage, tout degoulinante d’eau, November rentra a sa villa, et fila sous la douche, après cela, elle passa sa soirée devant la télévision a regarder des films et reality show, tous plus debiles les uns que les autres, elle attrapa ensuite son téléphone pour appeler Zane mais se ravisa, on était encore en pleine après midi a L.A et il devait certainement être en train de travailler, November ne voulait pas le deranger, elle avait déjà fait le coup de l’appeler au milieu de la nuit, cette fois, elle comptait les heures et cherchait le moment approprié pour lui parler…C’est donc devant la télévision que November s’endormit…Oui la jeune femme, en ce moment était plus que fatigué, c’était peu le dire, ce tournage l’ennuyait, elle s’interdisait toute sortie dans le cœur de Londres pour ne pas être tentée de boire et passer la soirée avec ses anciens amis, avec qui elle n’était plus elle-même, et toutes les personnes qu’elle aimait étaient aux Etats-Unis . Mais voila, son travail était son travail et elle se devait de le faire, de plus, ce rôle qu’elle interpretait était d’autant plus intéréssant qu’il pourrait aussi permetre a la jeune femme , des rôles encore meilleurs…Ce qui reveilla ce matin la, n’était pas comme d’habitude, son téléphone, avec a l’autre bout du fil, le realisateur de son film, lui demandant de venir plus tôt que prevu, ni Cody qui lui proposait d’aller boire un verre, non c’était la sonnerie de sa porte, November en fut d’ailleurs plus que surprise, elle priait pour que ce ne soit pas un de ses amis londonnien fetard…les « London By Night » comme elle les appellait, venu lui demander ou elle était passé (comme si ils ne lisaient pas la presse…), mais elle ecarta vite cette eventualité, il était trop tôt pour que l’un d’eux vienne, a moins qu’ils n’arrivent avant d’aller se coucher …Bref, November, curieuse, se leva du canapé, les cheveux decoiffés et les yeux encore embués, elle arriva a sa porte et l’ouvrit, decouvrant avec surprise, cette chere Lunahbee…Hein ? Esceque sa maison avait fait, tel celle de Dorothy du magicien d’Oz, un vol qui l’emmena jusqu’en Californie au lieu de Londres ? November fut surprise, certes, mais un sourire se dessina sur son visage, elle était contente que Bee soit la


« Hey !! Comment ça va ?! Mais quesque tu fait la ? Je te croyais a L.A ! »


Elle ne put s’empecher de la prendre dans les bras, elle avait l’impression que son mal du pays ( ce qui est etrange, parceque : elle avait le mal du pays …dans son propre pays) disparaissait un peu et que Bee ramenait un peu de Hollywood et L.A avec elle…
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